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GRAND LUSTRE ART DÉCO LAITON EMBOUTI, BRONZE ET TULIPES EN VERRE MARBRÉ

670,00

Réf. 10313

Grand lustre Art Déco laiton embouti, bronze et tulipes en verre moulé marbré. Une monture constitué d’une partie centrale composée d’une série des fûts à six pans de différentes dimensions et formes en laiton embouti. Au centre, trois bras de lumières en col de cygne et ces griffes-chapeaux. Trois grandes tulipes à dix pans en verre moulé marbré aux tonalités ocre, rouge et beige. Un globe à six pans en laiton embouti couronné d’un poignard en bronze en guise de fin de lustre. Une chaîne relie le tout au cache-bélière à six pan en laiton embouti. Les trois points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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GRAND LUSTRE ART DÉCO PETITOT – DEGUÉ BRONZE VIEIL ARGENT VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10284

Grand lustre Art Déco PETITOT – DEGUÉ en bronze vieil argent et verre moulé-pressé. Belle monture en bronze vieil argent aux motifs floraux et géométriques de la maison Petitot (Alexandre Hubert, Paris, 1877-1938), avec le monogramme AP (Alexandre Petitot et non Antonin Petitot comme par erreur est écrit souvent) dans le corps de la monture. Le modèle est présent dans les catalogues des années 1930 du fabricant parisien (voir image n° 9) mais avec un montage des verreries Muller Frères Lunéville. Ici, la maison Petitot opte pour un montage avec des verreries moulés-pressées fabriquées aux Cristalleries de Compiègne par Les verreries d’art Degué, modèles de vasque et tulipes dit « Roses modernes », dont la vasque n°580 et les tulipes n°532 (numérotation du catalogue du fabricant, voir images n° 10 et 11). Les fabricants de bronzes d’éclairage utilisaient souvent une même monture de lustre avec des verreries différentes selon leurs fournisseurs. Petitot utilisait pour ses luminaires les verreries de Muller Frères Lunéville, Degué, Gauthier et bien d’autres fabricants.  Quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de la vasque.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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GRAND LUSTRE ART DÉCO PIERRE MAYNADIER BRONZE ARGENTÉ ET PÂTE DE VERRE MULLER FRÈRES LUNÉVILLE

Réf. 10336
Grand lustre Art Déco de Pierre Maynadier en bronze argenté et pâte de verre. Le lustre proposé ici à la vente, et peu commun sur le marché d’aujourd’hui, il est d’une production de Pierre Maynadier présent dans le catalogue du fabricant de l’année 1930, modèle 373 (voir images 12, 13 et 14). Une belle et robuste monture en bronze argenté composée d’une partie centrale en hexagone égayée de six ailettes en échelle et douze panneaux en pâte de verre mouchetée blanche double couche que le fabricant désigne comme « opaline moucheté ». En réalité, ces sont des verreries produites par Muller Frères Lunéville. Six tiges prolongées en appliques et surmontées d’ailettes qui aboutissent sur six feux avec ses grands cache-douilles en bronzes. Six grands cylindres en pâte de verre mouchetée blanche double couche font office d’abat-jours donnant une chaude lumière tamisée. Les tiges sont regroupées par une pièce centrale qui rappelle le décor de caches-douilles. Un cache-bélière hexagonal à douze pans et à plusieurs gradins alternant des roues dentelées et lisses.

Jean-Pierre-Léon MAYNADIER (Paris, 1888 – 1948), grand gaillard d’un mètre quatre vingt, était né au 3 Place des Vosges, d’un père garçon des recettes et d’une mère couturière et concierge. Il avait commencé sa carrière professionnelle en tant que employé du commerce, puis dessinateur, mais il va se former vite au métier de la forge pour démarrer quelques années plus tard une activité de ferronnier d’art spécialisé dans les appareils d’éclairage. Blessé à plusieurs reprises durant la guerre de 14-18, il atteint avec bravoure le grade de sergent. Après la première guerre, il va se mettre finalement à son compte en acquérant en 1924 la société Vertadier, doreur sur métaux au 12 rue Saint-Gilles où il va développer son activité de ferronnerie d’art : « fers d’art appliqués aux luminaires » à partir de 1925. Il va vite se mettre à la recherche des nouveaux locaux industriels pour installer ses ateliers et son magasin. C’est alors qu’il s’installe au 36 rue Amelot et élargie sa gamme d’appareils d’éclairage en bronze. En 1934 la société devient P. Maynadier et Cie, une association avec Charles Besnus, anciennement « Cherrier et Besnus ». Ce dernier avait succédé à son beau-père René Massin, bronzier d’éclairage, qui avait sa société à la même adresse que Maynadier. En 1934, Pierre Maynadier récupère la manufacture de bronzes d’éclairage de Marcel Fritsch au 25 rue Saint-Sébastien et installe des nouveaux ateliers. Tout au long de sa carrière Pierre Maynadier va déssiner la plus part de ses luminaires. Pour la verrerie, Maynadier fait appel très assidûment à Muller Frères Lunéville, à qui il fait fabriquer des modèles exclusifs. On trouve aussi dans les montages de ses appareils d’éclairage des verreries de Dégué, de Schneider et de Daum. À sa mort en 1948, son fils Pierre Jean Serge récupère la direction de la société, puis dans les années 1960 elle sera administrée par Pierre Martin jusqu’à cessation d’activité.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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GRAND PLAFONNIER ART DÉCO LAITON REPOUSSÉ ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 30297

Grand plafonnier Art Déco en laiton repoussé argenté et verre moulé-pressé. Une monture en laiton repoussé argenté aux motifs de roses modernes et leurs feuillages. Une grande vasque (Ø 34cm) en verre moulé-pressé dépoli blanc aux formes géométrique et faces de diamants avec bordures polies. Deux points lumineux à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

GRAND PLAFONNIER ART DÉCO TÔLE D’ACIER REPOUSSÉ ET VERRE MOULÉ

540,00

Réf. 30344

Grand plafonnier Art Déco en tôle d’acier repoussé et verre moulé. Une monture en tôle d’acier repoussé et martelé aux motifs de sillons et des pointes sur différents types de gradins. Une grande vasque-globe ovoïde en verre moulé dépoli blanc aux décors de martelage avec une frise aux fleurs stylisées. Une production française de la fin des années 1920. Deux points lumineux à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

GRANDE APPLIQUE ART DÉCO PERRUCHE EN BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

550,00

Réf. 40351

Grande applique Art Déco Perruche en bronze argenté et verre moulé-pressé. Cette belle et élégante applique est conçue et fabriquée en bronze argenté ciselé. Elle est constituée d’une platine aux décors de feuillages stylisés avec double fixation en haut et en bas de la platine. Un bras d’applique en sarment de vigne avec sa petite grappe de raisin. Une belle belle perruche calopsitte, à longs brins, se dresse sur le sarment tenant dans son bec la lumière en guise de prise : une tulipe en verre moulé-pressé dépoli blanc aux motifs des poissons dans les flots des eux. Ni la monture en bronze ni la tulipe ont pu être identifiées. La monture présente seulement la numérotation « 24 » correspondant au modèle du fabricant. La tulipe peut être une fabrication de Sonover, Noverdy ou la Verrerie des Vosges, mais rien n’est sûr en absence de documentation. Le point lumineux est à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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GRANDE LAMPE ART DÉCO ANNÉES 1930, BRONZE NICKELÉ ET VERRE OPALIN BLANC

Réf. 20361

Grande lampe Art Déco années 1930, bronze nickelé et verre opalin blanc. Cette grande et élégante lampe de table est pourvue d’un pied très lourd en bronze nickelé avec une embase circulaire à gradins et un fût tubulaire à sections tournées. Une grande lyre pour soutenir l’abat-jour et accueillir la douille et ampoule. Un grand abat-jour cloche en verre opalin blanc. Une fine et petite écaille sur la bordure inférieure à peine visible. Câble électrique en tissus noir avec prise et interrupteur noir. Le point d’éclairage est à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

GRANGER : GRANDE APPLIQUE ART DÉCO BRONZE NICKELÉ ET ALBÂTRE BLANC

580,00

Réf. 40356
Granger, grande applique Art Déco en bronze nickelé et albâtre blanc. Cette imposante applique est une production de Granger de la fin des années 1920. Elle est constituée d’une platine de forme ovale aux motifs floraux et géométriques avec un grand bras d’applique ascendant à facettes. Une grande coupelle-tulipe en albâtre blanc veiné aux tons noir et gris de la maison parisienne Tissot, installé au 70 rue d’Angoulême. Une barre d’accroche est présente à l’arrière de la platine avec le monogramme de Granger « Y G » (voir image n° 8). Le Y correspond à son fils Yves Granger qui reprendra d’une certaine manière l’affaire familiale. Le point lumineux est à douille baïonnette culot B22.

La maison Granger fut créée en 1892 par Ernest Simon Marie GRANGER (Paris, 1864-1936). Elle était située à ses débuts au 42 rue Beaubourg, suite d’une reprise d’une ancienne société de son père Alexis Granger, qui était spécialisé dans la fabrication d’objets en acier. La nouvelle entreprise d’Ernest Granger, « Granger fils » va commencer son activité dans la fabrication d’outils pour ouvrages de dames : crochets à broder, ongliers ainsi que d’outillages divers pour la quincaillerie, dont des tringles, des crochets, des rosaces à tableaux, des porte-chapeaux et manteaux, plaques de propreté. Il va déménager ses ateliers plusieurs fois : d’abord au 16 rue Rambuteau en 1907, puis au 26 de la même rue Rambuteau jusqu’en 1913. Finalement, en 1914, il s’installe définitivement au 10 rue Moreau où il restera jusqu’à cessation d’activité. À partir de cette date, il va élargir sa gamme de production en proposant des cuivreries d’ameublement, garnitures de fenêtres, bronzes d’éclairage et d’ameublement. La production de bronzes d’éclairage va prendre petit à petit sa place dans son développement et il fera appel à des créateurs et artistes tels Houssat-Bordenave pour les dessins de ses luminaires. Granger va utiliser souvent de l’albâtre de chez Tissot pour garnir ses luminaires, mais il va aussi utiliser du verre moulé dépoli et du verre pressé. La maison Granger va finalement disparaître en 1936 suite au décès de son fondateur.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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HETTIER & VINCENT/BACCARAT : LUSTRE ART DÉCO FERRONNERIE D’ART ET CRISTAL DE BACCARAT

Réf. 10373

Hettier & Vincent/Baccarat : lustre Art Déco ferronnerie d’art et cristal de Baccarat. Le lustre proposé ici à la vente de la célèbre maison parisienne Hettier & Vincent, est une rareté sur le marché du luminaire Art Déco. Cette réalisation du duo Hettier & Vincent, est présente dans un catalogue du fabricant du début des années 1930, sous le modèle n° 9264 (voir images 18, 19, 20 et 21). L’association entre le dessinateur Charles-Louis Hettier (Paris, 1868) et Calixte Vincent (Lachapelle-Graillouse, 1876 – Paris, 1945) date de 1909. Installés depuis leur début au 43 rue des Tournelles, ils ont petit à petit grandi leurs affaires et ils vont racheter en 1929 la maison Millet de la Place des Vosges. Après la seconde Guerre Mondial la veuve Vincent fait tourner la société jusqu’à la revente. Une nouvelle société sera créée en 1954, qui sera clôturée en 1989. Au début des années 1990, la maison Lucien Gau rachète l’intégralité des catalogues et moules de l’ancienne maison Hettier & Vincent ainsi que ceux des Établissements Petitot après leur clôture en 2009.

Le modèle ici présenté à la vente, dont une monture en fer forgé, est composée d’un corps central de quatre tiges et quatre bras en appliques de volutes. Un cache-bélière à larges godrons et cinq grandes griffes cache-douilles en acier. Cinq feux, dont quatre en appliques, et un cinquième en guise de fin de lustre, tous équipés de cinq globes en cristal fabriqués spécialement par les mondialement célèbres Cristalleries de Baccarat pour Hettier & Vincent, dont la signature est présente sur chaque globe. On peut voir sur le même catalogue les images de deux autres modèles dont la mention « cristal de Baccarat » est bien signalé (voir image 19).

La plupart des luminaires en fer forgé proposé par Hettier & Vincent, étaient réalisés sous commande spéciale par le célèbre ferronnier d’art marseillais Louis Trichard, fils (Marseille, 1893-1978). Trichard, vraie force de la nature, car mutilé de guerre, avait sa forge et sa galerie d’exposition « Au Singe Vert » à Marseille, au 150 rue de Rome. Trichard, plusieurs fois gravement blessé durant la guerre de 1914-1918, travaillait le fer d’un seul bras valide, admirable preuve de réadaptation professionnelle et d’amour de l’art. C’était un digne l’héritier de son père, appelé aussi Louis-Joseph Trichard (Marseille, 1861-1923), un des plus importants ferronniers d’art de France, décédé en 1923. Louis Trichard, fils, est l’auteur de l’exécution en 1924 des imposantes grilles du Parc Chanot à Marseille, une année après la mort de son père.

Les cinq points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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HETTIER ET VINCENT / MULLER FRÈRES LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET PÂTE DE VERRE

Réf. 10348

Lustre Art Déco HETTIER ET VINCENT en bronze argenté et pâte de verre Muller Frères Lunéville. Une élégante et aérienne réalisation du duo Hettier et Vincent présente dans le catalogue du fabricant de 1929 (voir images de 17 à 20). L’association entre le dessinateur Charles Louis Hettier (Paris, 1868) et Calixte Vincent (Lachapelle-Graillouse, 1876 – Paris, 1945) date au moins des années avant la Guerre de 14-18, vers 1912. Installés depuis leur début au 43 rue des Tournelles ils ont petit à petit grandi leurs affaires et ils vont racheter en 1929 la maison Millet de la Place de Vosges. Après la seconde Guerre Mondial la veuve Vincent fait tourner la société jusqu’à la revente.

Le modèle ici présenté à la vente (n° 8079 dans le catalogue du fabricant de 1929), est composé d’une monture en bronze argenté à trois branches-appliques. Les trois bras en appliques présentent les caches-douilles à godrons très caractéristiques de la maison. Une partie centrale en forme de torchère rayonnante et sa pigne de fin de lustre. Le cache-bélière avec le même traitement rayonnant et bordure supérieure perlée est un élément largement utilisé par Hettier et Vincent dans ses productions d’entre les deux guerre. Il est d’ailleurs proposé à la vente dans le même catalogue de 1929 (voir image n° 18). Les quatre points lumineux sont équipés des tulipes avec bords festonnés en pâte de verre la verrerie Muller Frères à Lunéville. Les tulipes avec le style marmoréen c’est un dégradé de tonalités poudrées de blanc, rose et bleu. Elles sont toutes la signature dégagée à l’acide « Muller Frères Lunéville ». Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

Lampe de table Art-Déco (1930-1940)

150,00

Réf. 20067

Lampe de table Art-Déco réalisé entre 1930-1940 sur un petit socle en marbre noire avec insertion d’un triangle de marbre vert. La lampe est réalisé dans un mélange de laiton et bronze nickelé et jaune et deux tulipes en verre jaune. Quelques petites traces d’usure sur les branches nickelées.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LAMPE DE TABLE OU DE BUREAU ART DÉCO EN LAITON NICKELÉ ET GLOBE EN VERRE MOULÉ CRAQUELÉ

Réf. 20211

Lampe de table ou de bureau Art Déco en laiton nickelé et globe en verre moulé craquelé. La basse de la lampe est formée par deux gradins circulaires non alignés puis une tige télescopique à six pans se dresse jusqu’au bec articulé avec une griffe-cache douille à trois gradins. Un globe en verre moulé dépoli avec un décor façon craquelé. La partie télescopique de la tige permet de rehausser la hauteur de la lampe de 37 à 45cm. Un point lumineux à douille baïonnette culot B22. L’allumage se fait par un bouton poussoir à la basse du pied de la lampe. Quelques petits points de manques du nickelage à certains endroits.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). Les ampoules ne sont pas fournis lors de la vente »

LOUIS GAGNON : APPLIQUE DOUBLE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE SATINÉ

470,00

Réf. 40359

Louis Gagnon : applique double Art Déco en bronze argenté et verre satiné. Cette élégante applique double en bronze argenté de la fin des années 1920, est constitué d’une platine en forme de vase au bouquet de roses modernes. Deux bras remontants à section carrée avec leurs coupelles cache-douilles à godrons bas. Une barre d’accrochage est présente à l’arrière de la platine ainsi que la signature « GAGNON » (voir image n° 10). La verrerie est composée de deux fines tulipes en verre moulé dépoli satiné blanc. Gagnon garnissait souvent ses luminaires de ces années-là avec de la verrerie à simple dépoli (voir image n° 13). Les deux points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

Louis Alfred Gagnon (Paris, 1870), fils d’un serrurier, avait fait toute sa carrière en tant que ciseleur, un des plus réputés parmi ces compères. Il s’installe tout d’abord vers 1890 dans un des ateliers de ciseleurs au 10 rue Villehardouin et il obtient en 1903 le premier prix de ciselure du prestigieux concours de la Fondation Willemsens (voir image n° 12). En 1909, il installe ses ateliers au 10 – 13 Passage du Chantier où il va développer son activité dans la fabrication et la conception de bronzes d’art et d’éclairage. Il va collaborer dès la fin des années 1920 avec le dessinateur et décorateur Georges Dunaime qui signera des nombreux appareils d’éclairage édités par Alfred Gagnon et son fils Paul (voir image n° 11). En 1929, Alfred Gagnon fait une cession du fonds de commerce en faveur de son fils Paul qui signera ses bronzes « P. Gagnon » tout au long de la décennie 1930.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LOUIS LELIEF / SCHNEIDER : LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

1 100,00

Réf. 10363

Louis Lelief / Schneider : lustre Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé. Simple et élégant, le lustre proposé ici à la vente est constitué d’une monture en bronze argenté dont un cerclage central de 25 cm de diamètre avec trois décors de coquilles. Trois appliques aux décors végétales stylisés, trois branches à sections carrées et un cache-bélière hexagonal à deux étages aux décors géométriques et sa graine pointue. Le monogramme du fabricant Louis Lelief (L L) est présent au dos de chaque coquille décorative (voir image n° 21). La verrerie est une production de la maison Schneider, modèle d’obus 1093 en verre moulé-pressé, très connue des amateurs du maître verrier d’Épinay-sur-Seine. C’est le modèle connu sous la dénomination « libellules ». Une vasque obus avec la signature moulée « Schneider France 1093 » et trois tulipes sur le même thème des libellules (voir image n° 22). Il arrive très souvent que les tulipes ne comportent pas la signature moulée du fabricant. Quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22 dont une à l’intérieur de l’obus est trois en appliques.

Louis Alphonse Lélief (Paris, 1886 – 1950) avait commencé sa carrière vers 1903 en tant que ciseleur et monteur en bronze. Après avoir travaillé de longues années chez un estampeur – repousseur de métaux au 16 rue Villehardouin, Lelief reprend la même société et crée une nouvelle société en 1920, pour la fabrication de bronzes d’art et d’éclairage. Lelief, va fabriquer beaucoup de décors destinés aux différentes maisons de luminaires ainsi que pour sa propre production. Ses luminaires vont être réalisés dans le style Art Déco avec une partie de la production destinée aux modèles plus classiques, comme la plupart des fabricants de la période. Il va travailler essentiellement le bronze, en utilisant des verreries décorés ou en verre moulé-pressé des maisons tels Schneider, Gauthier, Muller, Sonover, Noverdy, Des Hanots, entre autres. Au cours des années 1930, fabrique sera démenagée au 1 rue Saint-Claude (voir images n° 23 et 24 du catalogue des années 1930), et restera active jusqu’en 1945 et en 1946. Une nouvelle société, « Lelief et Cie », sera constituée au 28 rue Saint-Claude au moins jusqu’à sa mort en 1950.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »