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GRANGER : GRANDE APPLIQUE ART DÉCO BRONZE NICKELÉ ET ALBÂTRE BLANC

580,00

Réf. 40356
Granger, grande applique Art Déco en bronze nickelé et albâtre blanc. Cette imposante applique est une production de Granger de la fin des années 1920. Elle est constituée d’une platine de forme ovale aux motifs floraux et géométriques avec un grand bras d’applique ascendant à facettes. Une grande coupelle-tulipe en albâtre blanc veiné aux tons noir et gris de la maison parisienne Tissot, installé au 70 rue d’Angoulême. Une barre d’accroche est présente à l’arrière de la platine avec le monogramme de Granger « Y G » (voir image n° 8). Le Y correspond à son fils Yves Granger qui reprendra d’une certaine manière l’affaire familiale. Le point lumineux est à douille baïonnette culot B22.

La maison Granger fut créée en 1892 par Ernest Simon Marie GRANGER (Paris, 1864-1936). Elle était située à ses débuts au 42 rue Beaubourg, suite d’une reprise d’une ancienne société de son père Alexis Granger, qui était spécialisé dans la fabrication d’objets en acier. La nouvelle entreprise d’Ernest Granger, « Granger fils » va commencer son activité dans la fabrication d’outils pour ouvrages de dames : crochets à broder, ongliers ainsi que d’outillages divers pour la quincaillerie, dont des tringles, des crochets, des rosaces à tableaux, des porte-chapeaux et manteaux, plaques de propreté. Il va déménager ses ateliers plusieurs fois : d’abord au 16 rue Rambuteau en 1907, puis au 26 de la même rue Rambuteau jusqu’en 1913. Finalement, en 1914, il s’installe définitivement au 10 rue Moreau où il restera jusqu’à cessation d’activité. À partir de cette date, il va élargir sa gamme de production en proposant des cuivreries d’ameublement, garnitures de fenêtres, bronzes d’éclairage et d’ameublement. La production de bronzes d’éclairage va prendre petit à petit sa place dans son développement et il fera appel à des créateurs et artistes tels Houssat-Bordenave pour les dessins de ses luminaires. Granger va utiliser souvent de l’albâtre de chez Tissot pour garnir ses luminaires, mais il va aussi utiliser du verre moulé dépoli et du verre pressé. La maison Granger va finalement disparaître en 1936 suite au décès de son fondateur.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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H. FOURNET/SCHNEIDER LUSTRE ART DÉCO BRONZE NICHKEL-ARGENT ET PÂTE DE VERRE

Réf. 10412

H. Fournet/Schneider : lustre Art Déco en bronze nickel-argent et pâte de verre. Cet élégant et simple lustre est une fabrication des Établissement Hippolyte Fournet à Lyon dont on le retrouve dans le catalogue de 1930 du fabricant sous la référence 1285 (voir image n° 11). Il est composé d’une monture en bronze nickel-argent avec une partie centrale à trois bras d’appliques aux motifs géométriques et trois cache-douilles à godrons modernes. Trois tiges tubulaires relient cette partie centrale au cache-bélière aux décors floraux. La verrerie est composée de trois coupelles en pâte de verre moucheté blanche de la verrerie Schneider. Toutes les coupelles sont griffées de la marque du fabricant et très difficiles à prendre en photo. Les trois points lumineux sont à douille baïonnette, culot B22.

Eugène Hippolyte Fournet (Joyeuse, 1876), fils de cultivateurs de l’Ardèche, quitte sa terre natale à la fin du XIXe siècle pour s’installer à Lyon en tant que clerc d’huissier, puis il devient employé du commerce. Il va créer sa société H. Fournet en 1919, au 61 Cours de la Liberté à Lyon, une entreprise dédiée à l’appareillage électrique. Il va développer tout de suite la fabrication et vente d’appareils d’éclairage en fer forgé, souvent estampillés de la marque de fabrique déposée « Le Fer Forgé H.F ». En 1929, la société, cette fois-ci en responsabilité limitée, devient les Établissement H. Fournet avec l’entrée des associés Louis Vallet et Adrien Capelle. La société sera transférée tout d’abord au 35 rue de la Part-Dieu, puis elle s’agrandit en installant des nouveaux locaux au 4 et 6 de la même rue. L’atelier sera situé au 11 route de Vienne. En 1930, un magasin d’exposition est ouvert au 34 rue Servient (voir images n° 12 et 13). Dès l’année 1930, les Établissements H. Fournet développent la fabrication des luminaires en bronze. Spécialisés dans la ferronnerie d’art, Fournet, selon ses propres mots, la société développera la fabrication du bronze « avec la même technique, le même soin d’exécution que dans le fer forgé, ce qui nous a permis de prendre sur le marché, une place marquée. » En 1930, Gaumont va filmer le travail du fer et du verre des Établissements Fournet à Lyon. En 1937, Fournet participe avec un groupe de fabricants de bronzes lyonnais, à l’Exposition internationale des arts et des techniques dans la vie moderne, organisé à Paris. Hippolyte Fournet restera dans la société jusqu’en 1938, et la société deviendra Anciens Établissements H. Fournet, dirigé par le lyonnais Henri Rouvière. La société continuera au-delà de l’année 1954 par la famille Rouvière sous une autre forme.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

HETTIER & VINCENT / DES HANOTS : PAIRE DE LAMPES ART DÉCO DOUBLE FEUX BRONZE NICKEL-ARGENT

1 880,00

Réf. 20381

Hettier & Vincent / Des Hanots : paire de lampes Art Déco double feu bronze nickel-argent. Exceptionnelle paire de lampes de table à double feu de la célèbre maison parisienne Hettier & Vincent. Une véritable rareté sur le marché du luminaire Art Déco, car ici présentées en une paire, cette réalisation du duo Hettier & Vincent, est présente dans un catalogue du fabricant du début des années 1930, sous le modèle n° 8780 (voir images 11-15). L’association entre le dessinateur Charles-Louis Hettier (Paris, 1868) et Calixte Vincent (Lachapelle-Graillouse, 1876 – Paris, 1945) date de 1909. Installés depuis leur début au 43 rue des Tournelles, ils ont petit à petit grandi leurs affaires et ils vont racheter en 1929 la maison Millet de la Place des Vosges. Après la seconde Guerre Mondial la veuve Vincent fait tourner la société jusqu’à la revente. Une nouvelle société sera créée en 1954, qui sera clôturée en 1989. Au début des années 1990, la maison Lucien Gau rachète l’intégralité des catalogues et moules de l’ancienne maison Hettier & Vincent ainsi que ceux des Établissements Petitot après leur clôture en 2009.

Le modèle ici présenté à la vente, présente le même pied que sur le modèle n° 8780 du catalogue, mais avec la variante des tulipes au lieu des coupelles. Les pieds, en bronze nickel argent, dont la patine est d’origine, sont constitués d’une embase en roue à doubles gradins aux motifs rayonnants. Un double fût en forme de lyre qui part d’une pigne centrale à triples gradins. Des lyres et des boutons de serrage, typiques de la production d’Hettier & Vincent, qui permettent la fixation des tulipes. Les quatre tulipes, en verre moulé-pressé dépoli blanc sont d’une fabrication de la Verrerie des Hanots (Holophane) dont le nom « pâquerette » est donné dans un catalogue du fabricant (voir images n° 12, 13 et 16). Une vasque avec les mêmes décors est assortie avec ces tulipes. La fabrication de verrerie d’éclairage de la société Holophane, dont l’usine était située à Les Andelys (département de l’Eure), était signée sous la marque « Des Hanots », elles sont marquées assez souvent dans les moulages. Cette signature, on ne la retrouve pas systématiquement sur tous les modèles comme c’est le cas pour les tulipes ici présentées.

Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B15.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

HETTIER & VINCENT/DES HANOTS : SUSPENSION GLOBE BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

590,00

Réf. 30391

Hettier & Vincent/Verrerie des Hanots : suspension Art Déco bronze argenté et verre moulé-pressé. Élégance et sobriété pour cette suspension du duo Hettier & Vincent présente dans le catalogue du fabricant de 1930, modèle n° 8871 (voir images 8-11). L’association entre le dessinateur Charles-Louis Hettier (Paris, 1868) et Calixte Vincent (Lachapelle-Graillouse, 1876 – Paris, 1945) date de 1909. Installés depuis leur début au 43 rue des Tournelles, ils ont petit à petit grandi leurs affaires et ils vont racheter en 1929 la maison Millet de la Place des Vosges (voir image 21). Après la seconde Guerre Mondial la veuve Vincent fait tourner la société jusqu’à la revente.

Le modèle ici présenté à la vente (n° 8871 dans le catalogue du fabricant), dont la monture en bronze argenté, est composée d’un cache-bélière ou pavillon hexagonal aux motifs rayonnants. Une chaîne dite « à gorge » (voir image n° 9) largement utilisée par Hettier &Vincent dans leurs luminaires. Une griffe à globe sans col relie la monture du globe en verre moulé-pressé dépoli blanc aux motifs des pâquerettes et papillons ou un travail de repolissage est fait sur quelques parties des décors du verre. Le globe est une production de la Verrerie des Hanots, qui faisait partie de la société Holophane France, dont l’usine de production se trouvait aux Andelys, dans l’Eure. Les signatures « Des Hanots » correspondaient à celles de la fabrication des verreries d’art et de décoration telle la verrerie d’éclairage, les vases, les sculptures, et la verrerie d’architecture. En 1930, Holophane France devient la Société Anonyme Holophane, société entièrement française et complètement indépendante des entités anglaises et américaines. Hettier & Vincent utilisera pour ses luminaires beaucoup des verreries d’éclairage sorties des Andelys, certaines de façon exclusives ou presque.

Un seul point lumineux à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette).

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HETTIER &VINCENT/VERRERIE DES HANOTS : SUSPENSION ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 30398

Hettier & Vincent/Verrerie des Hanots : suspension Art Déco bronze argenté et verre moulé-pressé. Cette suspension du duo Hettier & Vincent est présente dans le catalogue du fabricant pour l’année 1930, modèle n° 10403 (voir image 10). L’association entre le dessinateur Charles-Louis Hettier (Paris, 1868) et Calixte Vincent (Lachapelle-Graillouse, 1876 – Paris, 1945) date de 1909. Installés depuis leur début au 43 rue des Tournelles, ils ont petit à petit grandi leurs affaires et ils vont racheter en 1929 la maison Millet de la Place des Vosges (voir image 21). Après la seconde Guerre Mondial la veuve Vincent fait tourner la société jusqu’à la revente. Une nouvelle société sera créée en 1954, qui sera clôturée en 1989. Au début des années 1990, la maison Lucien Gau rachète l’intégralité des catalogues et moules de l’ancienne maison Hettier & Vincent ainsi que ceux des Établissements Petitot après leur clôture en 2009.

Le modèle ici présenté à la vente (n° 10403, dans le catalogue du fabricant pour l’année 1930), est composé d’un cache-bélière à motifs rayonnants et bordure supérieure perlée, élément largement utilisé par Hettier et Vincent dans ses productions d’entre les deux guerres. Il est d’ailleurs proposé à la vente dans le catalogue de 1929 (voir image n° 12). Trois chaînes en bronze fondue, dites « à gorges » élément unique de la maison, permettant le passage discret des câbles électriques (voir image n° 13). La grande vasque de 45 cm de diamètre, en verre moulé-pressé dépoli blanc avec des parties polis sur la fresque supérieure, est d’une fabrication de la Verrerie des Hanots (Holophane) dont le nom « pâquerette » est donné dans un catalogue du fabricant (voir image n° 11). Des tulipes avec les mêmes décors sont assorties avec la vasque (voir la paire de lampes en vente sous la Réf. 20381). La fabrication de verrerie d’éclairage de la société Holophane, dont l’usine était située à Les Andelys (département de l’Eure), était signée sous la marque « Des Hanots », ou « Verlys », elles sont marquées assez souvent dans les moulages. Cette signature, on ne la retrouve pas systématiquement sur tous les modèles comme c’est le cas pour la vasque présentée ici. La Verrerie des Hanots, faisait partie de la société Holophane France, dont l’usine de production se trouvait aux Andelys, dans l’Eure. La signature « Des Hanots » correspondait à celle de la fabrication des verreries d’art et de décoration telle la verrerie d’éclairage, les vases, les sculptures, et la verrerie d’architecture. En 1930, Holophane France devient la Société Anonyme Holophane, société entièrement française et complètement indépendante des entités anglaises et américaines. Pour ses créations, Hettier & Vincent intégrera une multitude de verreries d’éclairage, en grande partie fabriquées aux Andelys, dont certaines seront presque en exclusivité.

Trois points lumineux à douille baïonnette culot B22 (voir image n° 9).

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette).

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HUDRY/ARVERS/HUNEBELLE : SUSPENSION ART DECO LAITON, BRONZE ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 30408

Hudry/Arvers/Hunebelle : suspension Art Déco en laiton, bronze et verre moulé-pressé. Cette suspension dont la monture est en laiton et bronze argenté est frappée à l’arrière de chaque décor en bronze du monogramme MH correspondant au prolifique fabricant de luminaires parisien Marcel Hudry. Marcel Alexandre Hudry (Paris 1889 – 1952), électricien de formation, créa en septembre 1921 son commerce et sa fabrique de bronzes d’éclairage et d’électricité au 13 rue de Crussol dans le 11ᵉ arrondissement parisien (voir images 12 et 13), une reprise de l’ancienne fabrique des bronzes d’art d’A. Jourdan. La société d’Hudry fera faillite en 1935.

Un cerclage en laiton embouti aux décors de roses modernes avec leurs feuillages et trois décors avec attaches en bronze argenté. Trois chaînes à fleurons en laiton embouti sur le thème des roses modernes permettant le passage discret des câbles électriques. Le cache-bélière, aussi en laiton embouti reprend les décors de roses. La verrerie est composée d’une vasque en verre moulé-pressé aux motifs d’hydrangea avec la signature ou marque de fabrique « Arvers – France ». Les Établissements Arvers, dont la marque de fabrique était « Arvers », contrairement à ce que l’on peut lire assez souvent, faisait partie de la société créée en 1930 par André Hunebelle (Meudon, 1896 – Nice, 1985). Dans les statuts de la société Hunebelle, on lit que « la sous-marque « Arvers », déposée par M. Hunebelle le 9 janvier 1930 au Greffe du Tribunal de Commerce de la Seine, sous le numéro 266.196, pour fabrication et vente de verreries d’une qualité inférieure aux verreries signées « Hunebelle » ». Il est donc erroné d’affirmer que la marque « Arvers » correspond aux fabricant André Delatte et que sa signification veut dire « Art et verrerie ». Nonobstant, il existait une liaison commerciale entre les « Verreries de l’Est » et Hunebelle, car à ses débuts, André Hunebelle faisait fabriquer ses verreries aux établissements nancéiens dont le siège se trouvait quai Ligier-Richier et l’usine à Jarville (voir image n° 11). Sur ces mêmes statuts, on peut lire aussi que « l’organisation commerciale résultant d’accords passés par M. Hunebelle avec la Société « Verreries de l’Est », comportant notamment la jouissance de locaux d’exposition, 56 rue de Paradis, à Paris ». Par la suite, Hunebelle fera fabriquer toute sa verrerie signée « Hunebelle » aux « Verrerries et Cristalleries de Choisy-le-Roy » dont son propriétaire, René-Jean Houdaille (Paris, 1873 – Thiais, 1949), était l’un des premiers administrateurs et actionnaires des Établissements André Hunebelle. Sur l’image publicitaire de l’année 1930, on peut voir que cette vasque sous le numéro 213, était vendu comme « plafonnier » ou comme « coupe ». Cette verrerie n’a rien à envier aux verreries signées « Hunebelle » ou celles de « Lalique », tant pour la qualité de fabrication ainsi que pour le choix des décors.

Un seul point lumineux à douille baïonnette, culot B22.

«Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LAMPE DE TABLE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET GLOBE VERRE DÉPOLI ET DÉCORÉ

550,00

Réf. 20420

Lampe de table Art Déco en bronze argenté et globe en verre dépoli décoré. Cette lampe de table proposée ici à la vente, est constituée d’une embase ronde en bronze argenté, fondu et ciselé. Un fût tubulaire à cannelures égayé de trois ailettes qui reprennent les décors de l’embase. Une griffe à col finement ciselée de motifs végétaux. La verrerie est composée d’un globe en verre blanc dépoli et gravé au pochoir aux motifs géométriques et floraux. Cette lampe est équipée d’un câble tissu torsadé gris-argent, de sa prise et de son interrupteur. Le point lumineux est à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LAMPE DE TABLE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ, MARBRE ET GLOBE EN VERRE MOULÉ DÉPOLI

490,00

Réf. 20397

Lampe de table Art Déco en bronze argenté, marbre et globe en verre moulé dépoli. Cette charmante lampe de table des années 1930 est composée d’une terrasse ronde en marbre surmontée d’une structure en bronze argenté. Un cygne trône à l’intérieur d’un anneau sur une applique en balancier qui supporte un globe en verre moulé dépoli blanc. Cette lampe est équipée de sa prise et de son interrupteur.

Un point lumineux à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LAMPE VEILLEUSE DES ANNÉES 1920 EN ALBÂTRE ET BRONZE

490,00

Réf. 20311

Lampe veilleuse des années 1920 en albâtre et bronze. Cette ravissante lampe veilleuse des années 1920, constitué essentiellement d’albâtre veiné aux tonalités chaleureuses mélangeant les couleurs ocre, orange et gris. Elle dispose d’une base ronde en albâtre enchâssée dans un cerclage en bronze doré. Un fût en albâtre dont la basse est décorée d’une ceinture perlée. Une lyre à trois bras soutient un abat-jour d’albâtre en forme de mamelon. Quelques rayures sur l’albâtre, inévitables dans un objet centenaire. Câble électrique torsadé en tissus doré avec prise et interrupteur. Le point d’éclairage est à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LEBRETON & USDIN : GRANDE APPLIQUE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

590,00

Réf. 40404

Lebreton & Usdin : grande applique Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé. L’applique proposée ici à la vente est une production de Lebreton & Usdin des débuts des années 1930 comme on peut le constater dans un catalogue commercial du fabricant sous le numéro de modèle 668 (voir image n° 8). La monture, en bronze argenté, est composée d’une grande platine en bronze argenté aux motifs géométriques, et un col descendant à section carrée. Cette grande applique est garnie d’une tulipe à six pans en verre moulé-pressé dépoli blanc aux motifs géométriques assortie à ceux de la platine. Une barre d’accrochage est présente au dos de la platine, où l’on retrouve aussi le marquage 668 correspondant au numéro du modèle dans le catalogue commercial. Le point lumineux est à douille baïonnette culot B22.

La maison Lebreton & Usdin, était une maison spécialisée dans la fabrication de chaînes pour lustrerie et des crochets. Fondée par Paul Lebreton (Carentoir, 1880 – Garches, 1951) et Robert Usdin (Bychki, Russie, 1888), en 1922 en société en nom collectif au 10 rue Saint-Sébastien avec usine et bureau au Raincy (Seine-et-Oise). Il s’agissait d’une succession de l’ancienne maison Plasse et Usdin, fabrique d’accessoires pour l’éclairage et chaînes pour lustrerie avec les mêmes adresses pour les bureaux et l’usine. Robert Usdin était un inventeur d’origine russe, arrivé en France avant la guerre de 14-18, puis naturalisé français en 1928. Il était à l’origine de plusieurs inventions, comme celle de 1913, d’un nouveau crochet estampé se fixant aux murs les plus durs par une épingle. Son nom commercial sera celui de « crochet Lion ». Il était installé d’abord à Lyon où il se marie, puis au Raincy ou une lignée d’Usdin se sont établis depuis (voir image n° 9).

Paul Lebreton, fils de notaire, arrivé à Paris en 1900 depuis le Morbihan natal. D’abord employé de commerce, il va aussi se distinguer depuis 1905, dans le domaine des inventions et surtout dans le domaine de la santé et la chirurgie. Installé, lui aussi au 10 rue Saint-Sébastien en 1920, il va inventer un chariot tuteur pour faciliter aux enfants leurs premiers pas et par la suite, à leur servir pour apprendre à marcher. Cette invention sera d’utilité majeure, car ce chariot sera l’ancêtre du déambulateur moderne (voir image n° 10). En 1921, il sera à l’origine d’un autre brevet pour un procédé de fabrication de mailles de chaînes pour lustrerie avec dissimulation de fils, un fils de chaque côté de la chaîne. C’est ainsi qui naît l’union entre les deux inventeurs. Le mariage d’une sœur de Paul Lebreton avec le fabricant de bronzes d’éclairage Alphonse Krempff, va lui faciliter l’installation de la société au 72 rue Amelot où d’autre fabricants de bronzes d’éclairage comme Georges Vilbert (ancienne maison Krempff) et Henri Mouynet, avaient choisi ce domicile.

La société Lebreton & Usdin est dissoute à la fin des années 1930, après avoir souffert plusieurs contre-temps, dont un important incendie en 1933, dans leur usine du Raincy. Ensuite, les Établissements Robert Usdin sont créés, toujours au Raincy, dans la fabrication de cuivrerie pour l’éclairage. En 1940, Lebreton cède son fonds de commerce du 72 rue Amelot sous le nom « Établissements CHROM ».

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ « CROSSES DE FOUGÈRES » ET VERRE MOULÉ MOUCHETÉ

590,00

Réf. 10291

Lustre Art Déco en bronze argenté « crosses de fougères »et verre moulé moucheté. Une belle monture en bronze argenté avec trois lumières en appliques avec décors des crosses de fougères stylisées et une lumière centrale. Quatre coupelles à double gradins en verre moulé moucheté rose et blanc. Cache-bélière à gradins et motifs géométriques égayé d’un poignard à gradins. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un sur la coupelle centrale.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LUSTRE ART DÉCO BRONZE NICKELÉ, BOIS ET VERRE MOULÉ

580,00

Réf. 10260

Lustre Art Déco (1934-1939) en bronze nickelé, bois et verre moulé. Pour cet lustre une monture en bronze nickelé avec trois branches en appliques et surmontées de trois coupelles en verre moulé moucheté aux tonalités ocre et blanc. Un globe central en verre moulé à gradins aux mêmes tonalités que les coupelles. Une tige centrale en bronze nickelé et gainée d’un fût en bois tourné et vernis. Un cache-bélière aussi en bronze nickelé. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LUSTRE ART DÉCO CHARLES BOULANGER-DEGUÉ BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

990,00

Réf. 10350

Lustre Art Déco Charles Boulanger et Degué en bronze argenté et verre moulé-pressé. Une monture moderne en bronze argenté composée d’une partie centrale à six pans sur laquelle six branches en appliques diffusent la lumière. Une tige centrale aussi à six pans et un cache-bélière dans le même esprit. À la fin de chaque bras d’applique des cache-douilles à six pans en bronze, très caractéristiques des Établissements Charles Boulanger. Six tulipes Degué en verre moulé-pressé rose poudré ou « Rosaline » avec des reserves claires, qui ne sont jamais signées. Seules les vasques correspondantes au même modèle sont signées, elles correspondent aux dernières créations sorties de la Cristallerie de Compiègne. Les six points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

Charles Boulanger (Paris, 1856 – 1923) fut un des principaux fabricants parisiens d’appareils d’éclairage. Il créa d’abord une société en nom collectif en 1897 sous le nom « Boulanger et Roux, fabrique d’appareils d’éclairage pour le gaz et l’électricité » au 25 rue Notre-Dame-de-Nazareth, reprise d’une maison fondée en 1876. Puis il se sépare de Roux au tout début du XXème siècle et devient Charles Boulanger et Cie au 54 rue de Sévigné. Une société en commandite simple est créée en 1912 avec la même raison sociale. Les adresses 1 & 3 rue du Parc Royal est prise ensuite en se rajoutant à celle de la rue de Sévigné. À la mort de Charles Boulanger en 1923, sa veuve Augustine, née Godu prend la tête de la société. Puis tour à tour, la société sera dirigée par sa fille René Vartanian et son fils Charles Léon Louis (1895-1945) monteur en bronze.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LUSTRE ART DÉCO DEGUÉ « LES FAISANS », BRONZE, LAITON, BOIS VERNIS ET VERRE MOULÉ

840,00

Réf 10310

Lustre Art Déco Degué en bronze doré, laiton, laiton cuivré, bois et verre moulé. Une monture qui s’imbrique autours d’un fût central en bois de noyer vernis faisant aussi office de gaine de la tige centrale qui est en laiton cuivré. Quatre branches en bronze fondu doré, égayées chacune d’un décor de faisan finement ciselé. Chaque branche comporte un cache-douille à gradins surmontés de quatre coupelles en verre moulé dit « Rosaline » à étage ondulé, dépoli au sable fin, avec bande claire sur le bord et filets clairs en étages à étage ondulé, dépoli au sable fin, avec bande claire sur le bord et filets clairs en étages (selon description du fabricant dans son catalogue). Cette verrerie fait partie des créations Degué et des Cristalleries de Compiègne, présente dans un catalogue des années 1930 du fabricant (voir image 14). Les coupelles ne sont jamais signées. Le cache-bélière est aussi en laiton cuivré. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LUSTRE ART DÉCO EN FERRONNERIE D’ART ET VERRE BLANC DÉPOLI À L’ACIDE

650,00

Réf. 10417

Lustre Art Déco en ferronnerie d’art et verre blanc dépoli à l’acide. Cette originale réalisation des années 1930, en fer forgé, est constituée d’une partie centrale triangulaire avec des décors de volutes martelés. Trois chaînes relient au cache-bélière en forme pyramidale. À chaque extrémité du triangle central, trois lanternes à quatre fenêtres et leurs chapeaux en pyramide. Chaque fenêtre est équipée de plaques de verre blanc dépoli à l’acide. Les trois points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO ETS GILLES EN BRONZE ARGENTÉ ET VERRE PRESSÉ DÉPOLI ET TAILLÉ

Réf. 10399

Lustre Art Déco des Établissements Gilles en bronze argenté et verre dépoli taillé. Le lustre proposé ici à la vente apparaît dans le catalogue de 1929 du fabricant parisien Paul Gilles sous la référence n° 332 (voir images n° 15 et 16). Il est composé d’une monture en bronze argenté à trois bras d’appliques en volutes, égayés des motifs floraux stylisés, autour d’une partie centrale à godrons et une graine en guise de fin de lustre. Un fût central à cannelures avec une enfilade au milieu. Le cache-bélière est en demi-sphère à godrons modernes. La verrerie est composée de trois tulipes à six pans en verre pressé dépoli et taillé aux motifs rayonnants. Ces tulipes, Gilles va les utiliser maintes fois pour garnir ses luminaires et dont on les retrouve sur d’autres modèles de lustres dans le même catalogue. Les trois points lumineux sont à douilles baïonnette culot B22.

Paul Joseph Gilles (Dinan, 1898 – Chaumont-sur-Tharonne, 1977), fils d’un industriel tanneur, avait commencé son activité comme ajusteur mécanicien. Il va créer, au lendemain de la Première Guerre mondiale, en 1919, sa manufacture de bronzes d’éclairage au 27 rue Esquirol, loin des traditionnels quartiers parisiens où se concentraient les bronziers. À cette adresse, Gilles va concentrer son usine, ces bureaux et son magasin d’exposition. Il va produire durant toute sa carrière des luminaires de grande qualité, tant pour leurs esthétiques que pour leurs réalisations. Les affaires florissantes, une nouvelle société fut créée en 1929, avec le concours de son père Paul Désiré Gilles (Fougères, 1868), et son jeune frère Raymond Vincent Gilles (1900-1977), anciennement monteur en bronze à Montreuil. Les Établissements Gilles étaient alors une société à responsabilité limitée pour l’exploitation d’un établissement industriel et commercial de fabrication et de vente de bronzes d’éclairage et dont Gilles mis à la gérance son père. En décembre 1931, la société est transférée à Montreuil-sous-Bois au 27 rue des Messiers. Entre 1937 et 1938, le père, Paul Désiré, vends ses parts de la société aux deux fils et quitte la gérance. On ne sait pas si les Établissements Gilles ont survécu après le conflit de 1939-1945.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles, mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »