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LUSTRE ART DÉCO CÉLESTIN JAMAIN EN BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10340

Lustre Art Déco Célestin Jamain en bronze argenté et verre moulé-pressé dépoli blanc. Le lustre proposé ici à la vente est d’une production de la maison Célestin Jamain présent dans le catalogue du fabricant de 1933 (voir images n° 15 et 16). Il est constitué d’une monture en bronze argenté et ciselé. Une partie centrale faite d’un cerclage aux motifs géométriques ciselés avec le monogramme « C. J. » correspondant à Célestin Jamain (voir image n° 12). Trois bras en appliques aux décors de volutes et ses cache-douilles à double gradin. Trois tiges en bronze fondu relient le tout avec le cache-bélière en bronze aux motifs rayonnants. La verrerie est composée d’une vasque centrale et trois tulipes en verre moulé-pressé aux motifs géométriques et rayonnants. Cette verrerie n’est pas signée, elle est sans doute un modèle exclusif de la maison Jamain qui, depuis sa création au XIX siècle, avait produit et commercialisée des verreries d’éclairage. Le modèle de verrerie ici utilisé reproduit les mêmes motifs que sur la frise du cerclage en bronze. Célestin Jamain lui-même était membre de la Chambre Syndicale de la Céramique et de la Verrerie, introduit en 1922 par Naud et Apcher. La maison Jamain faisait aussi appel à des verreries tels Degué, Schneider, etc, pour équiper ces appareils d’éclairage. Quatre points lumineux à douilles baïonnette culot B22 trois quatre en appliques et un dans la vasque centrale.

La maison JAMAIN est une ancienne entreprise qui commence son activité à la fin des années 1870. Hippolyte Louis Eugène JAMAIN, père de Céléstin JAMIN, était un fabricant d’articles d’éclairage qui en 1881, achète et s’associe à la Maison Laurent (ancienne maison Fontaine), fabricants d’articles d’éclairage au 216 rue Saint-Martin. C’est alors qui naît la Maison Jamin-Laurent. Entre temps, le père Jamain crée une autre société en 1886 « Jamain et Callerot » au 17 et 19 rue Gambey pour la fabrication de lampes et de verreries d’éclairage. Tant Jamain-Laurent comme Jamain et Callerot vont fabriquer de la verrerie d’éclairage. La société Jamain et Callerot sera dissoute en 1888, et seulement celle de Jamain-Laurent continuera son activité. En 1905, le fils, Hippolyte Célestin JAMAIN (Paris, 1878), représentent de commerce, prend la tête de la société qui s’appellera désormais C. JAMAIN, fabrique de bronzes d’éclairage, puis Établissements C. JAMAIN jusqu’en 1945. À partir de cette date un des fils de Célestin, Jacques Ernest JAMAIN (1916 – 2008), ancien joueur français de tennis, prend la direction, elle sera encore active aux moins jusqu’aux années 1950.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LUSTRE ART DÉCO CHARLES BOULANGER-DEGUÉ BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

990,00

Réf. 10350

Lustre Art Déco Charles Boulanger et Degué en bronze argenté et verre moulé-pressé. Une monture moderne en bronze argenté composée d’une partie centrale à six pans sur laquelle six branches en appliques diffusent la lumière. Une tige centrale aussi à six pans et un cache-bélière dans le même esprit. À la fin de chaque bras d’applique des cache-douilles à six pans en bronze, très caractéristiques des Établissements Charles Boulanger. Six tulipes Degué en verre moulé-pressé rose poudré ou « Rosaline » avec des reserves claires, qui ne sont jamais signées. Seules les vasques correspondantes au même modèle sont signées, elles correspondent aux dernières créations sorties de la Cristallerie de Compiègne. Les six points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

Charles Boulanger (Paris, 1856 – 1923) fut un des principaux fabricants parisiens d’appareils d’éclairage. Il créa d’abord une société en nom collectif en 1897 sous le nom « Boulanger et Roux, fabrique d’appareils d’éclairage pour le gaz et l’électricité » au 25 rue Notre-Dame-de-Nazareth, reprise d’une maison fondée en 1876. Puis il se sépare de Roux au tout début du XXème siècle et devient Charles Boulanger et Cie au 54 rue de Sévigné. Une société en commandite simple est créée en 1912 avec la même raison sociale. Les adresses 1 & 3 rue du Parc Royal est prise ensuite en se rajoutant à celle de la rue de Sévigné. À la mort de Charles Boulanger en 1923, sa veuve Augustine, née Godu prend la tête de la société. Puis tour à tour, la société sera dirigée par sa fille René Vartanian et son fils Charles Léon Louis (1895-1945) monteur en bronze.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO HETTIER & VINCENT BRONZE ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10320

Lustre Art Déco HETTIER & VINCENT en bronze et verre moulé-pressé. Une dentelle de ciselage en bronze doré pour cette réalisation du duo Hettier et Vincent présente dans le catalogue du fabricant de 1929, et proposée en deux versions : une avec les chaînes dite « à gorge » et une autre avec des tiges rigides creuses en bronze fondu (voir images 14 et 15). L’association entre le dessinateur Charles Louis Hettier (Paris, 1868) et Calixte Vincent (Lachapelle-Graillouse, 1876 – Paris, 1945) date de 1909. Installés depuis leur début au 43 rue des Tournelles ils ont petit à petit grandi leurs affaire et ils vont racheter en 1929 la maison Millet de la Place de Vosges (voir image 17). Après la seconde Guerre Mondial la veuve Vincent fait tourner la société jusqu’à la revente.

Le modèle ici présenté à la vente (n° 7305 dans le catalogue du fabricant ), est composé d’une partie centrale en forme de coupe ciselée qui évoque une dentelle avec des formes modernes. Quatre bras en appliques avec les caches-douilles à gaudrons très caractéristiques de la maison. Quatre chaînes dites « à gorges » (voir image 16) qui permettaient le passage discret des câbles électriques. Un cache-bélière richement décoré et utilisé par Hettier & Vincent, au même titre que le poignard de fin de lustre, tout au long de leurs productions dès la fin des années 1920 jusqu’aux années 1930. Les quatre points lumineux sont équipés des tulipes en verre moulé-pressé dépoli blanc à taille diamant dont la fabrication n’a pas pu être identifiée. Hettier & Vincent, comme la plupart de fabricants, proposaient différentes verreries pour leurs créations. Le modèle en question était présenté dans leur catalogue de 1929 avec des tulipes en verre moulé-pressé de Baccarat (images 14 et 15),  mais ils pouvaient être montés avec d’autres modèles de tulipes. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LUSTRE ART DÉCO LÉON HUGUE ET DEGUÉ BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

1 290,00

Réf. 10339

Lustre Art Déco Léon Hugue et Degué en bronze argenté et verre moulé-pressé dépoli blanc. Légèreté pour cet lustre de Léon Hugue dont la monture, en bronze argenté, date de la fin des années 1920 ou début des années 1930. Elle est constituée d’une partie centrale en pyramide triangulaire inversée avec des bords sobrement décorés et des têtes de vis rondes. Une fin de lustre richement décoré en artichaut et son poignard, pièce largement utilisée par Hugue dans la composition de ses lustreries (voir image n° 15). Trois longues tiges font la liaison avec le cache-bélière aux bords drapés avec son petit poignard dégradé de trois boules. Le monogramme de la maison L. Hugue, à savoir « HL », est frappé sur chaque pièce des bords de la pyramide, ainsi que la numérotation correspondante au modèle de la pièce. La verrerie est composée de trois sabots en verre moulé-pressé dépoli blanc aux décors de pomme de pin. Cette verrerie, jamais signée, correspond à une sérié réalisée par la Verrerie d’Art Degué dans les usines des Cristalleries de Compiègne, numéro de modèle 500 (voir les images de 17 à 21). Trois points lumineux en carrousel, un pour chaque sabot. tous à douilles baïonnette culot B22.

Léon Auguste Hugue (Paris, 1878 – Clichy-la-Garenne, 1970) avait commencé sa carrière comme monteur en bronze. En 1907 il crée sa fabrique de bronzes d’éclairage au 14 rue Pierre Levée. En 1913, il va créer une nouvelle société en commandite simple « L. Hugue, fabrique de bronzes et d’appareils d’éclairage » au numéro 10 de la même rue Pierre Levée. La société grandira et vers 1925 il va créer une usine au 68 rue des Rondeaux où il travaille avec l’aide de son fils Maurice Léon, monteur en bronze (voir image n° 13 et 16). À l’Exposition Française de Madrid en 1927 il obtiendra le diplôme Médaille d’or au même titre que Francis Hubens. Étrangement, en 1932, Léon Hugue vendra sa société à Charles frères pour lui racheter deux ans plus tard en 1934 seulement l’usine du 68 rue des Rondeaux. À la mort de sa troisième épouse Marie-Félicie Foussard en 1938 (il aura au total quatre mariages), Léon Hugue doit acheter les parts de son épouse héritées par sa petite-fille Claudine-Jeanne Ranc, aussi petite-fille d’un autre grand fabricant de bronzes d’éclairage : Charles Ranc. Sa société sera active au moins jusqu’au début de la Deuxième Guerre Mondial. Son filsLéon Hugue décède à Clichy-la Garenne à l’aube de ces 92 ans.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO LOUIS VANDAMME – DEGUÉ BRONZE VIEIL ARGENT VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10285

Lustre Art Déco Louis VANDAMME – DEGUÉ en bronze vieil argent et verre moulé-pressé. Sublime travail de la monture en bronze vieil argent aux motifs floraux stylisés de la maison VANDAMME (Louis Émile Augustin VAN DAMME, Bruxelles, 1886 – Paris, 1955), avec le monogramme LV (Louis Vandamme) dans le  cerclage central de la monture. On retrouve le même cache-bélière et les même décors floraux dans un modèle du catalogue de 1932 (voir image n° 11). Le travaille de ciselure de la maison Vandamme était connu par la qualité de ces bronzes, leurs finesse et esthétique. Pour le montage de cet lustre Vandamme choisi les verreries moulés-pressées fabriquées aux Cristalleries de Compiègne par Les verreries d’art Degué, dont l’obus ou verrine n°507 dite « pâquerettes » et les tulipes n°532 (numérotation du catalogue du fabricant, voir images n° 19 et 10). Quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de l’obus ou verrine.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO MAURICE MODEL – VERDUN BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10301

Lustre Art Déco Maurice Model (Cristalleries de Verdun) et verre moulé-pressé roses trémières. Une monture en bronze argenté composée d’un cerclage central en bronze argenté avec des décors rayonnants et et trois fleurs stylisées. Trois branches en appliques aux motifs rayonnants et ses cache-bélières. Trois tiges de tubes rectangulaires qui culminent vers un cache-bélière en bronze argenté avec des décorations florales stylisées.

La verrerie, composée d’une vasque-obus centrale et trois tulipes en verre moulé-pressé, dépoli et satiné dite « Roses Trémières » est sans doute des Cristalleries de Verdun, un de plus importants fabricants de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres. La cristallerie se trouvait au 10 rue Dame-Zabée à Verdun, elle fût crée par Maurice Jules MODEL (Paris, 1900 -1973) en 1928. Model débute son activité en 1923 avec la société Model et Lange au 64 boulevard de Ménilmontant, un atelier des fleurs et des coquillages lumineux. À partir de 1925 sa société devient Etablissements Maurice Model et les nouvelles installations seront fixées au 18 rue des Fêtes, jusqu’à la cessation d’activité durant la seconde guerre. Dans l’usine de Verdun, Model fabriquait de la verrerie d’art, notamment de la verrerie d’éclairage mais aussi il oriente ces créations dans la présentation d’étalages et des vitrines en verre dont il est à l’origine de leurs transformations. Il va aussi créer du flaconnage de luxe pour la présentation des parfums des grands couturiers français. Dans la foulé, Maurice Model crée une entreprise de luminaires dont les installations sont mises à la disposition de l’aviation militaire en 1939. La plus part des créations de Model étaient destinées à l’exportation en faisant mieux connaître la production française du verre à l’internationale. Les Cristalleries de Verdun serons fortement endommagées durant le bombardement du 15 juin 1940, par la suite elles resterons fermées définitivement. Les verreries d’éclairage, souvent signées M. Model Verdun, Verdun, Verdun France sont très remarquables dans la production des verriers français d’entre les deux guerres car elles ont un dépoli à grain très fin qui donne un aspect satiné au verre. On retrouve souvent les mêmes pièces signées ou non signées, et même parfois un même modèle avec la signature d’un autre fabricant d’éclairages.

Les verreries ici présentées ne sont pas signées, elles font partie des verreries produites à Verdun dont un méconnais le pourquoi de la non signature. On peut soutenir l’hypothèse que la production destinée à d’autres fabricants d’éclairage était celle qui n’indiquait ni le fabricant ni la provenance. On la retrouve les mêmes verreries dites « Roses Trémières » sur des nombreux catalogues de fabricants de luminaires des années 1930 (voir images n° 11 et 12). Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de la vasque-obus.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO MAURICE MODEL (CRISTALLERIES DE VERDUN) ET ADOLPHE BLOCH

Réf. 10295

Lustre Art Déco Maurice Model (Cristalleries de Verdun). Une monture en bronze argenté composée de trois tiges descendantes et trois branches en appliques aux décors stylisés. Un cache-bélière en bronze argenté avec décoration de feuilles stylisées. Le monogramme « AB » correspond à cette monture dont on la retrouve notamment dans d’autres montages avec le même cache-bélière. Elle est probablement du bronzier d’éclairage bordelais A. Boyreau et Cie, successeur des Anciens Ateliers de Charles Gautier 1 à 7 rue Vilaris, Bordeaux.

La verrerie, composée d’une grande vasque centrale et trois tulipes en verre moulé-pressé, dépoli et satiné est sans doute des Cristalleries de Verdun, un de plus importants fabricants de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres. La cristallerie se trouvait au 10 rue Dame-Zabée à Verdun, elle fût crée par Maurice Jules MODEL (Paris, 1900 -1973) en 1928. Model débute son activité en 1923 avec la société Model et Lange au 64 boulevard de Ménilmontant, un atelier des fleurs et des coquillages lumineux. À partir de 1925 sa société devient Etablissements Maurice Model et les nouvelles installations seront fixées au 18 rue des Fêtes, jusqu’à la cessation d’activité durant la seconde guerre. Dans l’usine de Verdun, Model fabriquait de la verrerie d’art, notamment de la verrerie d’éclairage mais aussi il oriente ces créations dans la présentation d’étalages et des vitrines en verre dont il est à l’origine de leurs transformations. Il va aussi créer du flaconnage de luxe pour la présentation des parfums des grands couturiers français. Dans la foulé, Maurice Model crée une entreprise de luminaires dont les installations sont mises à la disposition de l’aviation militaire en 1939. La plus part des créations de Model étaient destinées à l’exportation en faisant mieux connaître la production française du verre à l’internationale. Les Cristalleries de Verdun serons fortement endommagées durant le bombardement du 15 juin 1940, par la suite elles resterons fermées définitivement. Les verreries d’éclairage, souvent signées M. Model Verdun, Verdun, Verdun France sont très remarquables dans la production des verriers français d’entre les deux guerres car elles ont un dépoli à grain très fin qui donne un aspect satiné au verre. On retrouve souvent les mêmes pièces signées ou non signées, et même parfois un même modèle avec la signature d’un autre fabricant d’éclairages.

Les verreries ici présentées ne sont pas signées, elles font partie des verreries produites à Verdun dont un méconnais le pourquoi de la non signature. On peut soutenir l’hypothèse que la production destinée à d’autres fabricants d’éclairage était celle qui n’indiquait ni le fabricant ni la provenance. Quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de la vasque.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO MAURICE MODEL-CRISTALLERIE DE VERDUN BRONZE CHROMÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10331

Lustre Art Déco Maurice Model – Cristallerie de Verdun en bronze chromé et verre moulé-pressé. Une monture en bronze chromé composée de trois tiges richement décorées d’un motif dit persan stylisé. Trois bras en appliques qui soutiennent la vasque centrale, décorés dans le même style. Des caches-douilles à double gradin en laiton chromé. Le cache-bélière, aussi en bronze chromé est richement décoré. La monture est frappée par le monogramme en grandes capitales M. M. à l’intérieur d’un rectangle, monogramme qui désigne une ligne de fabrication d’appareils d’éclairage créée par Maurice Model au début des années 1930.

La verrerie, composée d’une vasque centrale et trois coupelles en verre moulé-pressé couleur « champagne » à motifs rayonnants et géométriques, sont fabriquées à la Cristallerie de Verdun, une de plus importantes productions de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres. La cristallerie se trouvait au 10 rue Dame-Zabée à Verdun, elle fût crée par Maurice Jules MODEL (Paris, 1900 -1973) en 1928. Model débute son activité en 1923 avec la société Model et Lange au 64 boulevard de Ménilmontant, un atelier des fleurs et des coquillages lumineux. À partir de 1925 sa société devient Etablissements Maurice Model et les nouvelles installations seront fixées au 18 rue des Fêtes, jusqu’à la cessation d’activité durant la seconde guerre. Dans l’usine de Verdun, Model fabriquait de la verrerie d’art, notamment de la verrerie d’éclairage. Il oriente aussi ces créations dans la présentation d’étalages et des vitrines en verre dont il est à l’origine de leurs transformations. Il va aussi créer du flaconnage de luxe pour des parfums des grands couturiers français. Dans la foulé, Maurice Model va créer une entreprise de luminaires dont les installations sont mises à disposition de l’aviation militaire en 1939. La plus part des créations de Model étaient destinées à l’exportation mais pas que. Les Cristalleries de Verdun seront fortement endommagées durant le bombardement du 15 juin 1940, par la suite elles resteront fermées définitivement. Les verreries d’éclairage, souvent signées « M. Model Verdun », « Verdun », « Verdun France » sont très remarquables dans la production de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres car elles ont un dépoli à grain très fin qui donne un aspect satiné au verre. On retrouve souvent les mêmes pièces signées ou non signées, et même parfois un même modèle avec la signature d’un autre fabricant d’éclairages.

Les verreries ici présentées ne sont pas signées, elles font partie tout de même des verreries produites à Verdun. On ignore pourquoi certaines verreries ne sont pas signées. Une hypothèse possible est que la production destinée à d’autres fabricants d’éclairage ainsi que celle destinée aux différents revendeurs, était celle qui n’était pas signé. On retrouve le modèle ici proposé sur un catalogue de 1935 (voir image n° 17 et 18) de FACEN (Fabrique d’Appareillage et des Câbles Electriques du Nord), société qui commercialisait, entre autre, des nombreuses luminaires de Maurice Model. Dans ce catalogue le modèle est appelé « Lustre Persane » (voir image n°17). Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de la vasque.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO NOVERDY BRONZE DORÉ VERRE MOULÉ-PRESSÉ SUR LE THÈME DE LA VIGNE

Réf. 10288

Lustre Art Déco NOVERDY en bronze doré et verre moulé-pressé sur le thème de la vigne. Belle monture en bronze doré et ciselé, constituée de trois branches en appliques, chaînes et cache-bélière finement travaillé de décoration végétale. Une vasque centrale (Ø35cm)et trois tulipes en verre moulé-pressé dépoli blanc signé « Noverdy France » uniquement sur la vasque (les tulipes en verre moulé-pressé de cette maison ne sont que rarement signés à différence de la production en pâte de verre). La signature Noverdy (par contraction « Nouvelles Verreries de Dijon » était tout simplement la « Société Anonyme des Verreries de Dijon » au Petit-Bernard, propriété de la famille Drouhot dont le père banquier et industriel René Drouhot était le président, le fils Félix Jean Drouhot et le beau-fils Ernest Rivoire étaient administrateurs. Mais c’est surtout Félix Jean Drouhot (Dijon, 1899 – 1944) qui était à la tête de la partie artistique et qu’on annonce comme « Maitre de verreries » dans le « Journal of the Society of Glass Technology » de 1924 avec la complicité de l’administrateur-directeur le belge Jean-Louis Kinot (1890 – Paris, 1960), ingénieur-verrier, qui alla travailler et administrer quelques années plus tard chez la concurrence aux Cristalleries de Compiène, dirigées par David Guéron. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de la vasque.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO NOVERDY BRONZE VIEIL ARGENT ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10290

Lustre Art Déco Noverdy en bronze vieil argent et verre moulé pressé. Une belle monture en bronze vieil argent avec trois branches en appliques et ces caches-douilles le tout égayé des décors ciselés sur le thème du rosier en fleur. Trois arques qui enferment un point lumineux avec son cache douille. Un élégant cache-bélière qui reprend le décor de feuilles du rosier. La monture présente le monogramme « LL », probablement du fabricant d’appareils d’éclairage parisien Louis Lelief (Paris, 1886 – 1950) qui avait sa manufacture premièrement au 16 rue Villehardouin et puis au 28 rue Saint-Claude, toute les deux dans le troisième arrondissement.

La verrerie est composée de quatre tulipes en verre moulé-pressé aux fruits et à la pomme de pin stylisés. Il s’agit ici des verreries non signées (les tulipes en verre moulé-pressé chez Noverdy n’étaient jamais signées) et bien connues produites par la « Société Anonyme des Verreries de Dijon » au Petit-Bernard, propriété de la famille Drouhot dont le père banquier et industriel René Drouhot était le président, le fils Félix Jean Drouhot et le beau-fils Ernest Rivoire étaient administrateurs. Mais c’est surtout Félix Jean Drouhot (Dijon, 1899 – 1944) qui était à la tête de la partie artistique et qu’on annonce comme « Maitre de verreries » dans le « Journal of the Society of Glass Technology » de 1924 avec la complicité de l’administrateur-directeur le belge Jean-Louis Kinot (1890 – Paris, 1960), ingénieur-verrier, qui alla travailler et administrer quelques années plus tard chez la concurrence aux Cristalleries de Compiène, dirigées par David Guéron. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO SCHNEIDER BRONZE FONDU ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10307

Lustre Art Déco Schneider en bronze fondu argenté et verre moulé-pressé. Une monture en bronze fondu argenté composé de trois bras en applique en bronze avec décor floral stylisé et ses cache-douilles. Trois tiges à quatre pans et un cache-bélière hexagonal à double gradin et poignard de fin. La verrerie est de la maison Schneider (Charles, 1881-1953) – (Ernest, 1877-1937). Elle est composée d’une vasque centrale et trois tulipes en verre moulé-pressé blanc aux motifs géométriques festonnée d’un décor de feuillages stylisés. La vasque et les tulipes ne sont pas signés mais c’est un modèle connu de la maison d’Épinay-sur-Seine. Seule la vasque présente le marquage « France 1030 », indication du numéro de modèle de la verrerie. Les quatre points lumineux, un dans la vasque et trois en appliques sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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MAURICE MODEL – CRISTALLERIE DE VERDUN APPLIQUE DOUBLE ART DECO BRONZE ARGENTÉ

Réf.40349

Maurice Model – Cristallerie de Verdun applique double en bronze argenté et verre moulé-pressé. Une monture en bronze argenté composée d’une platine en forme d’écusson de chasse et décor poinçonné au marteau. Deux bras d’appliques décorés et deux cache-douilles en laiton argenté avec petite boule de finition vers le bas. La monture ne présente pas de monogramme sauf numéro de modèle donc elle n’a pas pu être identifiée. Deux coupelles en verre moulé-pressé blanc aux motifs d’étoiles de David et géométriques qui sont d’une fabrication de la Cristallerie de Verdun, une de plus importantes productions de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres. Les coupelles ne sont pas signées, d’ailleurs elles ne le sont jamais, sauf sur certaines vasques apparaît la mention moulé dans le verre « M. Model Verdun », « Verdun », « Verdun France ». Les deux points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

La Cristallerie de Verdun se trouvait au 10 rue Dame-Zabée à Verdun, elle fut créée par Maurice Jules MODEL (Paris, 1900 – 1973) en 1928. Model débute son activité en 1923 avec la société Model et Lange au 64 boulevard de Ménilmontant, un atelier des fleurs et des coquillages lumineux. À partir de 1925, sa société devient Établissements Maurice Model et les nouvelles installations seront fixées au 18 rue des Fêtes, jusqu’à la cessation d’activité durant la seconde guerre. Dans l’usine de Verdun, Model fabriquait de la verrerie d’art, notamment de la verrerie d’éclairage. Il oriente aussi ces créations dans la présentation d’étalages et des vitrines en verre dont il est à l’origine de leurs transformations. Il va aussi créer du flaconnage de luxe pour des parfums des grands couturiers français. Dans la foulée, Maurice Model va créer une entreprise de luminaires dont les installations sont mises à disposition de l’aviation militaire en 1939. La plupart des créations de Model étaient destinées à l’exportation, mais pas que. Les Cristalleries de Verdun seront fortement endommagées durant le bombardement du 15 juin 1940, par la suite, elles resteront fermées définitivement. Les verreries d’éclairage, souvent signées « M. Model Verdun », « Verdun », « Verdun France » sont très remarquables dans la production de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres, car elles ont un dépoli à grain très fin qui donne un aspect satiné au verre. On retrouve souvent les mêmes pièces signées ou non signées, et même parfois un même modèle avec la signature d’un autre fabricant d’éclairages.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

MAURICE MODEL/VERDUN/PRIMAFLORE : LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ VERRE MOULÉ-PRESSÉ

960,00

Réf. 10355

Maurice Model / Verdun / Primaflore : lustre Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé. Le lustre proposé ici à la vente, est d’une fabrication des années 1930, constitué d’une monture en bronze fondu argenté sur le thème floral. Trois branches à section carré avec trois appliques avec des décors fleuris. Un cache-bélière ou pavillon en bronze qui reprend les motifs végétaux des appliques. La verrerie signée « Primaflore France », est composée d’une vasque centrale et trois tulipes en verre moulé-pressé, dépoli satiné blanc. La signature « Primaflore » est une production de Maurice Model dans sa Cristallerie de Verdun. Ce modèle de verrerie fleurie, était un thème cher de Maurice Model qu’il va reproduire sous différents modèles tout au long de sa production. On pense, que la signature « Primaflore » était destinée à une commande spéciale pour les Grands Magasins du Printemps à Paris et non une ligne de production qui était destinée à une commercialisation plus large auprès des différents fabricants d’éclairage. D’ailleurs, sous cette signature, il existe uniquement ce modèle, souvent décliné en vasque et en tulipes. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

La Cristallerie de Verdun se trouvait au 10 rue Dame-Zabée à Verdun, elle fut créée par Maurice Jules MODEL (Paris, 1900 – 1973) en 1928. Model débute son activité en 1923 avec la société Model et Lange au 64 boulevard de Ménilmontant, un atelier des fleurs et des coquillages lumineux. À partir de 1925, sa société devient Établissements Maurice Model et les nouvelles installations seront fixées au 18 rue des Fêtes, jusqu’à la cessation d’activité durant la seconde guerre. Dans l’usine de Verdun, Model fabriquait de la verrerie d’art, notamment de la verrerie d’éclairage. Il oriente aussi ces créations dans la présentation d’étalages et des vitrines en verre dont il est à l’origine de leurs transformations. Il va aussi créer du flaconnage de luxe pour des parfums des grands couturiers français. Dans la foulée, Maurice Model va créer une entreprise de luminaires dont les installations sont mises à disposition de l’aviation militaire en 1939. La plupart des créations de Model étaient destinées à l’exportation, mais pas que. Les Cristalleries de Verdun seront fortement endommagées durant le bombardement du 15 juin 1940, par la suite, elles resteront fermées définitivement. Les verreries d’éclairage, souvent signées « M. Model Verdun », « Verdun », « Verdun France » sont très remarquables dans la production de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres, car elles ont un dépoli à grain très fin qui donne un aspect satiné au verre. On retrouve souvent les mêmes pièces signées ou non signées, et même parfois un même modèle avec la signature d’un autre fabricant d’éclairages.

 

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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MAYNADIER : LAMPE DE TABLE FERRONNERIE D’ART ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ BLANC

Réf. 20357

Maynadier : lampe de table ferronnerie d’art et verre moulé-pressé blanc. La lampe proposée ici à la vente est une production de Pierre Maynadier des années 1930 dont on peut retrouver des éléments très caractéristiques de son esthétique du travail du fer forgé. La lampe, conçue d’un seul corps, est constituée d’une base pyramidal estampée. Trois tiges remontantes égayées de trois roues-fleurs très présentes dans la production fer forgé de Maynadier (voir images 6 et 9). Un cerclage-griffe avec ses trois vises de serrage. Un grand globe en verre moulé-pressé blanc aux motifs « bouquet d’hortensias ». On peut trouver le même traitement du luminaire mais souvent présenté comme « lanterneau » selon la dénomination du propre Maynadier dans ces catalogues (Voir images 9 et 10). Le point d’éclairage est à douille baïonnette culot B22.

Jean-Pierre-Léon MAYNADIER (Paris, 1888 – 1948), grand gaillard d’un mètre quatre vingt, était né au 3 Place des Vosges, d’un père garçon des recettes et d’une mère couturière et concierge. Il avait commencé sa carrière professionnelle en tant que employé du commerce, puis dessinateur, mais il va se former vite au métier de la forge pour démarrer quelques années plus tard une activité de ferronnier d’art spécialisé dans les appareils d’éclairage. Blessé à plusieurs reprises durant la guerre de 14-18, il atteint avec bravoure le grade de sergent. Après la première guerre, il va se mettre finalement à son compte en acquérant en 1924 la société Vertadier, doreur sur métaux au 12 rue Saint-Gilles où il va développer son activité de ferronnerie d’art : « fers d’art appliqués aux luminaires » à partir de 1925. Il va vite se mettre à la recherche des nouveaux locaux industriels pour installer ses ateliers et son magasin. C’est alors qu’il s’installe au 36 rue Amelot et élargie sa gamme d’appareils d’éclairage en bronze. En 1934 la société devient P. Maynadier et Cie, une association avec Charles Besnus, anciennement « Cherrier et Besnus ». Ce dernier avait succédé à son beau-père René Massin, bronzier d’éclairage, qui avait sa société à la même adresse que Maynadier. En 1934, Pierre Maynadier récupère la manufacture de bronzes d’éclairage de Marcel Fritsch au 25 rue Saint-Sébastien et installe des nouveaux ateliers. Tout au long de sa carrière Pierre Maynadier va déssiner la plus part de ses luminaires. Pour la verrerie, Maynadier fait appel très assidûment à Muller Frères Lunéville, à qui il fait fabriquer des modèles exclusifs. On trouve aussi dans les montages de ses appareils d’éclairage des verreries de Dégué, de Schneider et de Daum. À sa mort en 1948, son fils Pierre Jean Serge récupère la direction de la société, puis dans les années 1960 elle sera administrée par Pierre Martin jusqu’à cessation d’activité.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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PAIRE D’APPLIQUES ART DÉCO VERRERIE DES VOSGES BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf.40335

Paire d’appliques Art Déco Verrerie des Vosges en bronze argenté et verre moulé-pressé. Cette paire d’appliques est constitué d’une monture en bronze argenté sur le thème des roses modernes. Les longues platines richement décorées d’un bouquet de roses avec ces feuilles et tiges épineuses. Un bec ou col tubulaire lisse. Deux tulipes en verre moulé-pressé (non signées) aux dessins de roses modernes, produites par la Verrerie des Vosges et commercialisées, entre autres, par Aubin Ollier et Cie. On retrouve les tulipes dans un catalogue du fabricant ainsi que dans celui du grossiste (voir images 12-14). Les points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

La Verrerie des Vosges à Lutzelbourg (Moselle), était rachetée dans les années 1920 par la famille Drouhot, propriétaires entre autres, des Verreries de Dijon dont la marque Noverdy était celle de leurs verreries d’éclairage. Une erreur trouvée fréquemment c’est celle de vouloir appeler Noverdy comme patronyme de Jean Drouhot. « Jean Noverdy » c’est tout simplement une invention sorti de l’imagination débordante de quelqu’un qui n’a jamais voulu prendre la peine de faire une véritable investigation. Hélàs ! les mauvaises informations ont la vie dure et on continue à écrire et à lire toute sorte d’information non vérifiée.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »