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LOUIS GAGNON : APPLIQUE DOUBLE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE SATINÉ

470,00

Réf. 40359

Louis Gagnon : applique double Art Déco en bronze argenté et verre satiné. Cette élégante applique double en bronze argenté de la fin des années 1920, est constitué d’une platine en forme de vase au bouquet de roses modernes. Deux bras remontants à section carrée avec leurs coupelles cache-douilles à godrons bas. Une barre d’accrochage est présente à l’arrière de la platine ainsi que la signature « GAGNON » (voir image n° 10). La verrerie est composée de deux fines tulipes en verre moulé dépoli satiné blanc. Gagnon garnissait souvent ses luminaires de ces années-là avec de la verrerie à simple dépoli (voir image n° 13). Les deux points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

Louis Alfred Gagnon (Paris, 1870), fils d’un serrurier, avait fait toute sa carrière en tant que ciseleur, un des plus réputés parmi ces compères. Il s’installe tout d’abord vers 1890 dans un des ateliers de ciseleurs au 10 rue Villehardouin et il obtient en 1903 le premier prix de ciselure du prestigieux concours de la Fondation Willemsens (voir image n° 12). En 1909, il installe ses ateliers au 10 – 13 Passage du Chantier où il va développer son activité dans la fabrication et la conception de bronzes d’art et d’éclairage. Il va collaborer dès la fin des années 1920 avec le dessinateur et décorateur Georges Dunaime qui signera des nombreux appareils d’éclairage édités par Alfred Gagnon et son fils Paul (voir image n° 11). En 1929, Alfred Gagnon fait une cession du fonds de commerce en faveur de son fils Paul qui signera ses bronzes « P. Gagnon » tout au long de la décennie 1930.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LOUIS LELIEF / SCHNEIDER : LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

1 100,00

Réf. 10363

Louis Lelief / Schneider : lustre Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé. Simple et élégant, le lustre proposé ici à la vente est constitué d’une monture en bronze argenté dont un cerclage central de 25 cm de diamètre avec trois décors de coquilles. Trois appliques aux décors végétales stylisés, trois branches à sections carrées et un cache-bélière hexagonal à deux étages aux décors géométriques et sa graine pointue. Le monogramme du fabricant Louis Lelief (L L) est présent au dos de chaque coquille décorative (voir image n° 21). La verrerie est une production de la maison Schneider, modèle d’obus 1093 en verre moulé-pressé, très connue des amateurs du maître verrier d’Épinay-sur-Seine. C’est le modèle connu sous la dénomination « libellules ». Une vasque obus avec la signature moulée « Schneider France 1093 » et trois tulipes sur le même thème des libellules (voir image n° 22). Il arrive très souvent que les tulipes ne comportent pas la signature moulée du fabricant. Quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22 dont une à l’intérieur de l’obus est trois en appliques.

Louis Alphonse Lélief (Paris, 1886 – 1950) avait commencé sa carrière vers 1903 en tant que ciseleur et monteur en bronze. Après avoir travaillé de longues années chez un estampeur – repousseur de métaux au 16 rue Villehardouin, Lelief reprend la même société et crée une nouvelle société en 1920, pour la fabrication de bronzes d’art et d’éclairage. Lelief, va fabriquer beaucoup de décors destinés aux différentes maisons de luminaires ainsi que pour sa propre production. Ses luminaires vont être réalisés dans le style Art Déco avec une partie de la production destinée aux modèles plus classiques, comme la plupart des fabricants de la période. Il va travailler essentiellement le bronze, en utilisant des verreries décorés ou en verre moulé-pressé des maisons tels Schneider, Gauthier, Muller, Sonover, Noverdy, Des Hanots, entre autres. Au cours des années 1930, fabrique sera démenagée au 1 rue Saint-Claude (voir images n° 23 et 24 du catalogue des années 1930), et restera active jusqu’en 1945 et en 1946. Une nouvelle société, « Lelief et Cie », sera constituée au 28 rue Saint-Claude au moins jusqu’à sa mort en 1950.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LUCIEN ALLIOT : PAIRE DE SUSPENSIONS BRONZE ET ALBÂTRE BLANC VEINÉ GRIS

990,00

Réf. 30370

Lucien Alliot : Paire de suspensions en bronze et albâtre blanc veiné gris. La paire de suspensions proposées ici à la vente sont une production de la maison Lucien Alliot dont le monogramme L ✱ A est présent dans chaque pièce d’attache entre les chaînes et les vasques (voir image n°13). Les montures, dans un style Louis XVI, sont constituées chacune de trois chaînes avec des maillons et anneaux intercalés en bronze. Des cache-bélières en bronze aux décors de feuilles d’acanthe. Les boutons de pièces d’attache sont aussi décorés de feuilles d’acanthe. Les vasques, d’un diamètre de 30 cm sont en albâtre blanc, veiné gris. À l’intérieur de chaque vasque, trois points lumineux à douille baïonnette culot B22.

Lucien Charles Edouard ALLIOT (Paris, 1877 – Nanteuil-lès-Meaux, 1967), est surtout bien connu sous sa casquette de sculpteur statuaire et de fondeur. Mais il était aussi à la tête d’une importante société de fabrication de bronzes d’art et d’éclairage. La maison Alliot, tient se origines en 1860 quand M. Soulage crée une fabrique d’articles de religion en bronze d’imitation au 70 rue d’Angoulême. À la mort de Soulage en 1882, sa fabrique avait acquis une importante assez considérable. C’est à ce moment-là que la maison change sa raison sociale en « Veuve Soulage, Soulage fils et Alliot », ce dernier était le gendre de M. Soulage.

L’entrée de Napoléon Alliot dans l’établissement Soulage permit d’apporter à la fabrication un souffle nouveau : N. Alliot était un remarquable sculpteur et ciseleur. Sans abandonner la fabrication des sujets religieux, Alliot entreprit de fabriquer des œuvres créés par lui-même comme des statuettes, des groupes et des fantaisies diverses qui obtinrent un beau succès auprès du public. La maison Soulage devient définitivement la maison Alliot en 1882, à la suite du décès de Soulage fils. Les locaux de la rue d’Angoulême devenus trop étroits, c’est alors que N. Alliot déménage au 20 rue Pierre Levée. La nouvelle adresse aller comporter la fabrication complète de tout ce qui concerne le bronze d’imitation, à savoir, la fonte du métal, la ciselure, le montage et le bronzage des sujets. Plus de cinquante ouvriers et ouvrières travaillaient aux ateliers Alliot.

Le fils de Napoléon Alliot, Lucien, ancien élève de Barrias et de Coutant aux Beaux-Arts, avait commencé une carrière de modeleur et ses attitudes pour la sculpture vont dépasser celles de son père. Après le décès de son père, Lucien Alliot entrepris seul la direction de l’entreprise, puis il s’associe au nouvel époux de sa mère, Ernest Briche sous la dénomination Alliot & Briche. En 1913, Briche et Mme Briche, veuve Alliot, vont céder l’intégralité de la société à Lucien Alliot. À partir de ce moment-là, Lucien supprime de son activité le travail du bronze d’imitation pour se consacrer entièrement à la fabrication du bronze véritable. La nouvelle entreprise va se développer encore plus, et Lucien rajoute à l’activité une ligne de fabrication de bronzes d’éclairage, dont très souvent, il dessinait lui-même les modèles. La fabrication de luminaires va évoluer au fils des années avec une production de luminaires dit « classiques » et une autre de luminaires « modernes ». La production de luminaires de la maison Alliot va être active jusqu’au début de la Seconde Guerre mondiale. En 1942, sous l’occupation allemande, la loi relative aux entreprises, biens et valeurs appartenant aux juifs, va imposer une administration provisoire de la maison Alliot, selon les autorités allemandes le nom d’origine de la famille Alliot serait plutôt Halliot, donc juif.

Les luminaires produits par la maison Alliot vont être très présents sur le marché français et aussi à l’exportation. On retrouve beaucoup des pièces de la période Art Déco, mais aussi beaucoup d’autres de styles plus classiques : Louis XIV, Louis XV et Louis XVI. L’utilisation du monogramme de deux initiales avec une petite étoile entre les deux, est en général très présent dans tous ses luminaires.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LUSTRE ART DÉCO (1934-1939) TÔLE D’ALUMINIUM, BOIS ET VERRERIE MOUCHETÉE

580,00

Réf. 10256

Lustre Art Déco (1934-1939), tôle d’aluminium, bois et verrerie moucheté. Le lustre est composé d’une monture en tôle d’aluminium et bois vernis. Trois branches en appliques et ses coupelles en verre moulé moucheté blanc à gradins avec trois rangées de liserés argentés. Un demi globe central en verre moulé moucheté blanc à gradins avec trois rangées de liserés argentés. Les quatre points lumineux sont à baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LUSTRE ART DÉCO ADOLPHE BLOCH EN BRONZE ET PÂTE DE VERRE TANGO

780,00

Réf. 10302

Lustre Art Déco Adolphe Bloch en bronze et pâte de verre tango. Une monture en bronze doré composée d’une partie centrale en bronze, un cerclage égayé des décors de fruits et de végétaux agrémenté de trois bandeaux verticaux qui rejoignent à l’extrémité un poignard en guise de fin de lustre. Trois bras-appliques en prolongation deviennent trois tiges qui remontent jusqu’au cache-bélière celui-ci à décors de feuilles stylisées. Une petite vasque centrale et trois grandes tulipes en pâte de verre dit « tango » aux tonalités rouges et orangés en dégradé font penser aux verrerie Scheneider, mais celles-ci ne sont pas signées. Le monogramme « AB » présent sur plusieurs parties de la monture en bronze désigne le bronzier d’éclairage Adolphe Bloch (Paris, 1875-1946), fils de colporteur. Bloch, était un monteur en bronze qui commença sa carrière à la Maison Peyret au 44 rue de la Folie Méricourt. Il créa sa maison parisienne en 1905 situé au 19 rue Pasteur (Ateliers et magasin) en plus d’un magasin d’exposition au 37 Boulevard Voltaire. Puis elle reprend en 1926 l’ancienne Maison G. Peyret (Fabrique d’appareils d’éclairage) où il avait fait ces débuts et déménage ses bureaux, ses magasins et ses ateliers au 7 et 9 Cité Popincourt (14 rue de la Folie Méricourt) jusqu’à sa mort en 1946. Le lustre proposé ici est présent dans un catalogue du fabricant datant d’avant 1926 vu l’adresse sur le catalogue (voir images 9 et 10). Quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de la vasque.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO ANNÉES 1930 BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ DÉPOLI BLANC

Réf. 10364

Lustre Art Déco années 1930 en bronze argenté et verre moulé-pressé dépoli blanc. Belle réalisation pour cet élégant lustre dont la monture est en bronze argenté. Il est constitué de trois bras d’appliques aux motifs géométriques et ses caches-douilles. Trois tiges à sections rectangulaires et un cache-bélière, finement ciselé, sur le thème de la marguerite. La verrerie est composé d’une grande vasque centrale de 45cm de diamètre en verre moulé-pressé dépoli blanc avec des fines réserves claires. Trois coupelles sur le même thème des marguerites. Cette verrerie non signée est très probablement une production de Maurice Model et la Cristallerie de Verdun. Les quatre points lumineux sont à douilles baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un dans la vasque centrale.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO ANNÉES 1930 BRONZE FONDU ARGENTÉ, CRISTAL TAILLÉ ET VERRE MOULÉ

650,00

Réf. 10358

Lustre Art Déco, années 1930, bronze fondu argenté, cristal taillé et verre moulé. Le lustre proposé ici à la vente est une production des années 1930 et il est composé d’une monture en bronze fondu argenté constituée d’une partie centrale de quatre anneaux où reposent les éclairages. Une tige centrale dont le fût est une enfilade en cristal taillé, des anneaux en bronze et des pièces coniques. Une courte chaîne et un cache-bélière. Quatre points d’éclairage avec leurs cache-douilles et quatre coupelles à gradins en verre moulé dépoli blanc avec des réserves claires. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22, dont six en appliques et un dans la coupelle centrale.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ « CROSSES DE FOUGÈRES » ET VERRE MOULÉ MOUCHETÉ

590,00

Réf. 10291

Lustre Art Déco en bronze argenté « crosses de fougères »et verre moulé moucheté. Une belle monture en bronze argenté avec trois lumières en appliques avec décors des crosses de fougères stylisées et une lumière centrale. Quatre coupelles à double gradins en verre moulé moucheté rose et blanc. Cache-bélière à gradins et motifs géométriques égayé d’un poignard à gradins. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un sur la coupelle centrale.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE DÉPOLI GRAVÉ.

Réf. 10322
Lustre Art Déco en bronze argenté et verre dépoli et gravé. Une belle et moderne monture en bronze fondu argenté avec ossature légère. Elle est composée d’un cerclage central entouré de trois branches en appliques finement travaillées avec des motifs floraux stylisés. Trois tiges à quatre pans ornementées de motifs de clé grecque (voir photo 14). Un somptueux cache-bélière avec des motifs floraux stylisés. La monture est monogrammée « R », fabricant non identifié pour l’instant. La verrerie est composée d’un obus-vasque central et trois tulipes le tout en verre moulé dépoli blanc et gravé à la roue avec des motifs géométriques. Les quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de l’obus.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10308

Lustre Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé. Magnifique monture en bronze argenté avec une esthétique et un travail de ciselure remarquables. Elle est composée d’une tige centrale avec une série des fûts de diverses formes et d’ornements, finissant avec une boule en guise de fin de lustre. Quatre branches en forme de crosses richement décorées sur le thème de la nature tels que les fleurs et les fruits dans un style si propre au mouvement Art Déco. Un cache-bélière semi-sphérique égayé des rangés de gouttelettes. La verrerie est composée de quatre tulipes en verre moulé-pressé dépoli avec une légère teinte bleu azurin aux motifs rayonnants vers le bas et végétales vers le haut. Ni la monture ni la verrerie n’ont pu être identifiées. Quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ VERRERIE DES HANOTS ET ÉTABLISSEMENT GAUTHIER

Réf. 10325
Lustre Art Déco en bronze argenté verrerie des Hanots et Établissements Gauthier. Une monture en bronze argenté richement décorée des motifs floraux stylisés. Elle est composée de trois branches en appliques finement travaillées avec des motifs floraux stylisés. Trois tiges en bronze aux décors floraux stylisés. Un cache-bélière égayé aussi des motifs floraux stylisés. La monture est monogrammée « É » dont le fabricant n’a pas pu être identifier. La verrerie est composée d’un obus-vasque central (Verrerie des Hanots) et trois tulipes (Établissements Jean Gauthier), le tout en verre moulé-pressé blanc avec des motifs floraux et géométriques. Les quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de l’obus.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LUSTRE ART DÉCO BRONZE NICKELÉ, BOIS ET VERRE MOULÉ

580,00

Réf. 10260

Lustre Art Déco (1934-1939) en bronze nickelé, bois et verre moulé. Pour cet lustre une monture en bronze nickelé avec trois branches en appliques et surmontées de trois coupelles en verre moulé moucheté aux tonalités ocre et blanc. Un globe central en verre moulé à gradins aux mêmes tonalités que les coupelles. Une tige centrale en bronze nickelé et gainée d’un fût en bois tourné et vernis. Un cache-bélière aussi en bronze nickelé. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO BRONZE VIEIL ARGENT ET VERRE MOULÉ DÉPOLI BLANC

Réf. 10300

Lustre Art Déco en bronze vieil argent et verre moulé dépoli blanc. Une belle monture en bronze vieil argent sur un thème végétale stylisé. Trois branches-appliques avec des décors des fruits et végétaux. Trois tiges ornementées qui relient avec le cache-bélière richement décoré sur le même thème. Cette monture est probablement sortie des ateliers de Francis Hubens donc la société se trouvait au 68 rue des Archives, car on retrouve deux éléments largement utilisés par cette maison à savoir le poignard ou pointe de fin de lustre (voir image n° 9) et le cache-douille central (voir image n°10). La verrerie est composée de quatre tulipes à six pans en verre moulé dépoli blanc. Quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un au centre.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO CÉLESTIN JAMAIN EN BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10340

Lustre Art Déco Célestin Jamain en bronze argenté et verre moulé-pressé dépoli blanc. Le lustre proposé ici à la vente est d’une production de la maison Célestin Jamain présent dans le catalogue du fabricant de 1933 (voir images n° 15 et 16). Il est constitué d’une monture en bronze argenté et ciselé. Une partie centrale faite d’un cerclage aux motifs géométriques ciselés avec le monogramme « C. J. » correspondant à Célestin Jamain (voir image n° 12). Trois bras en appliques aux décors de volutes et ses cache-douilles à double gradin. Trois tiges en bronze fondu relient le tout avec le cache-bélière en bronze aux motifs rayonnants. La verrerie est composée d’une vasque centrale et trois tulipes en verre moulé-pressé aux motifs géométriques et rayonnants. Cette verrerie n’est pas signée, elle est sans doute un modèle exclusif de la maison Jamain qui, depuis sa création au XIX siècle, avait produit et commercialisée des verreries d’éclairage. Le modèle de verrerie ici utilisé reproduit les mêmes motifs que sur la frise du cerclage en bronze. Célestin Jamain lui-même était membre de la Chambre Syndicale de la Céramique et de la Verrerie, introduit en 1922 par Naud et Apcher. La maison Jamain faisait aussi appel à des verreries tels Degué, Schneider, etc, pour équiper ces appareils d’éclairage. Quatre points lumineux à douilles baïonnette culot B22 trois quatre en appliques et un dans la vasque centrale.

La maison JAMAIN est une ancienne entreprise qui commence son activité à la fin des années 1870. Hippolyte Louis Eugène JAMAIN, père de Céléstin JAMIN, était un fabricant d’articles d’éclairage qui en 1881, achète et s’associe à la Maison Laurent (ancienne maison Fontaine), fabricants d’articles d’éclairage au 216 rue Saint-Martin. C’est alors qui naît la Maison Jamin-Laurent. Entre temps, le père Jamain crée une autre société en 1886 « Jamain et Callerot » au 17 et 19 rue Gambey pour la fabrication de lampes et de verreries d’éclairage. Tant Jamain-Laurent comme Jamain et Callerot vont fabriquer de la verrerie d’éclairage. La société Jamain et Callerot sera dissoute en 1888, et seulement celle de Jamain-Laurent continuera son activité. En 1905, le fils, Hippolyte Célestin JAMAIN (Paris, 1878), représentent de commerce, prend la tête de la société qui s’appellera désormais C. JAMAIN, fabrique de bronzes d’éclairage, puis Établissements C. JAMAIN jusqu’en 1945. À partir de cette date un des fils de Célestin, Jacques Ernest JAMAIN (1916 – 2008), ancien joueur français de tennis, prend la direction, elle sera encore active aux moins jusqu’aux années 1950.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LUSTRE ART DÉCO CHARLES BOULANGER BRONZE ARGENTÉ VERRE MOULÉ DÉPOLI

670,00

Réf. 10324

Lustre Art Déco Charles Boulanger en bronze argenté et verre moulé dépoli. Une monture moderne en bronze argenté composée d’une partie centrale à trois bras d’appliques, trois tiges et un cache-bélière à godrons modernes. Quatre points lumineux avec ses caches-douilles à six pans en bronze, très caractéristiques des Établissements Charles Boulanger. Quatre tulipes à six pans en verre moulé dépoli d’une teinte dégradée mauve. Chaque douille est frappée du monogramme de Charles Boulanger, à savoir CH. B.

Charles Boulanger (Paris, 1856 – 1923) fut un des principaux fabricants parisiens d’appareils d’éclairage. Il créa d’abord une société en nom collectif en 1897 sous le nom « Boulanger et Roux, fabrique d’appareils d’éclairage pour le gaz et l’électricité » au 25 rue Notre-Dame-de-Nazareth, reprise d’une maison fondée en 1876. Puis il se sépare de Roux au tout début du XXème siècle et devient Charles Boulanger et Cie au 54 rue de Sévigné. Une société en commandite simple est créée en 1912 avec la même raison sociale. Les adresses 1 & 3 rue du Parc Royal est prise ensuite en se rajoutant à celle de la rue de Sévigné. À la mort de Charles Boulanger en 1923, sa veuve Augustine, née Godu prend la tête de la société. Puis tour à tour, la société sera dirigée par sa fille René Vartanian et son fils Charles Léon Louis (1895-1945) monteur en bronze.

Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »