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CH. RANC ET MULLER FRÈRES : LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

1 180,00

Réf. 10343

Charles Ranc et Muller Frères Lunéville : lustre Art Déco bronze argenté et verre moulé-pressé. Un somptueux lustre dont la monture en bronze argenté à été crée par la maison de bronzes d’éclairage Charles Ranc à la fin des années 1920 ou début des années 1930. La Maison Ch. Ranc est devenue en 1928 la société en commandite simple « Ranc Frères », suite à la mort de son fondateur en 1927. Trois tiges-branches qui finissent en appliques de volutes avec ces griffes en bronze avec différents niveaux de gradins. Le cache-bélière, en bronze argenté, est une pièce largement utilisé par Ranc dans ses créations notamment dans le catalogue du fabricant de 1928 (voir images n° 14, 15 et 16). La verrerie est une production de la maison Muller Frères à Lunéville dont on retrouve leurs références dans un des catalogue du fabricant (voir image n° 17). Elle est composé d’une vasque centrale à bords lobés et aux décors floraux et géométriques. Elle est signée (voir image n° 10) est se trouve dans le catalogue Muller sous la référence 5909 (voir image n° 17). Quatre tulipes signées (voir image n° 12) qui reprennent les mêmes bords lobés aux décors floraux et géométriques dont la référence sur le catalogue est 5909-1 (voir image n°17). Les cinq points lumineux sont à douille baïonnette culot B22 dont quatre en appliques et un dans la vasque centrale.

La maison parisienne Charles Ranc fût fondée en 1909 par l’ardéchois Charles Eugène Frédéric RANC (Rocles, 1871 – Paris, 1927) au 64 rue de la Folie Méricourt. La maison Ranc est distinguée par la qualité de ses bronzes et le fin travail de ciselage. Une belle production d’appareils d’éclairage qui va se perpétuer avec ces fils, après le décès de son fondateur. La maison Charles Ranc devient alors Ranc Frères. Elle regroupait les enfants de Charles dont Eugène-André (Lyon, 1898), Charles-Clément (Lyon 1899), Auguste-Etienne et Madeleine-Henriette, devenue Mme Paul-Jules Berjot. La adresse de la maison fût transférée en 1930 au 97 rue Oberkampf. La société est restée active au moins jusqu’aux années 1990.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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DEGUÉ, LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ ROSE POUDRÉ

Réf. 10347

Degué, lustre Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé rose poudré. Une monture en bronze argenté dont le fabricant n’a pas pu être identifié, composée d’un cerclage central et trois branches en appliques aux formes géométriques. Trois tiges tubulaires cannelées et un cache bélière avec deux types de feuilles stylisées. La verrerie est composée d’une vasque centrale en verre moulé-pressé rose poudré de la maison Degué aux décors des crosses en épanouissement, modèle 513 dans le catalogue du fabricant (voir image n° 14 et 15). Trois tulipes de la même série avec les décors de crosses, modèle 510 du même catalogue (voir image n° 16 et 17). Cette verrerie, jamais signée, correspond à une sérié réalisée par la Verrerie d’Art Degué dans les usines des Cristalleries de Compiègne, elle à était produite en quatre tonalités : blanche, rose poudré, champagne et bleu. Les désignations dans le catalogue de l’époque sont celles de « Coupe décor moderne » (voir image n° 15) et « Tulipe décor moderne » (voir image n° 17). On trouve ce même modèle de verrerie avec la signature dans la masse du moule « L’ ELF » pour les Établissements Lucien Fontaine avec lequel les Cristalleries de Compiègne fournissait des verreries en verre moulé-pressé comme à bien d’autres fabricants de luminaires. En aucun cas on peut dire que cette verrerie est d’une fabrication des Établissements Lucien Fontaine (L’ ELF) car celui-ci n’était absolument pas un verrier mais un fabricant d’appareils d’éclairage en bronze et fer forgé qui se fournissait chez les verriers de l’époque. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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DLOUGOVSKY / VERRERIE DES VOSGES : LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ VERRE MOULÉ-PRESSÉ

630,00

Réf. 10371

Dlougovsky et la Verrerie des Vosges : lustre Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé. Le lustre proposé ici à la vente fait partie de la production des Établissement Jules Dlougovsky (Félix Andraud, successeur) dont le siège et le magasin se trouvaient au 12 rue Saint-Sabin. La monture en bronze argenté, d’une ligne épurée, est constituée d’un cache-bélière circulaire avec des décors autours et un poignard ou graine très utilisée dans le montage de ses luminaires (voir images n° 15 et 16). Trois tiges à section hexagonale et un anneau de soutien avec des décors type martelé, pièce aussi utilisée dans des nombreux lustres du fabricant. Trois griffes cache-douilles à crêtes en laiton argenté. La verrerie est composée de trois globes, appelés « Les Chamanes » en verre moulé-pressé dépoli à l’acide de la Verrerie des Vosges, à Lutzelbourg (Moselle). Ce modèle de globe n’est jamais signé, modèle qui avait été décliné comme pied de lampe ou comme vase (voir images n° 17 et 18). La Verrerie des Vosges à Lutzelbourg (Moselle), était rachetée dans les années 1920 par la famille Drouhot, propriétaires entre autres, des Verreries de Dijon dont la marque Noverdy était celle de leurs verreries d’éclairage. Une erreur trouvée fréquemment, c’est celle de vouloir appeler Noverdy comme patronyme de Jean Drouhot. « Jean Noverdy » c’est tout simplement une invention sortie de l’imagination débordante de quelqu’un qui n’a jamais voulu prendre la peine de faire une véritable investigation. Hélàs ! les mauvaises informations ont la vie dure et on continue à écrire et à lire toute sorte d’information non vérifiée.

Les trois points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

Les Établissements J. Dlougovsky ont été fondés en 1900, par Jules Élie Dlougovsky (Bilostok, 1875 – Paris, 1925). Emigré en France à la fin du XIXe siècle, il s’installe à Paris ou il va exercer le métier de représentant de commerce. Il épouse en 1902, Florentine Mége et ensuite créé sa société de fabrication de manchons d’éclairage à incandescence au 43 rue Amelot. En 1910, il dépose un brevet d’invention, un « procédé de fabrication de manchons à incandescence en soie artificielle ». Il est naturalisé français cette même année. Les affaires prospèrent et en 1918, il rachète le fonds de commerce d’une fabrique de ferblanterie à l’Île Saint-Denis qui deviendra son usine principale. À partir de ce moment-là, il développe et élargit pleinement son activité dans la fabrication de bronzes d’éclairage, et ouvre en 1923, ses nouveaux bureaux et magasins au 12 rue Saint-Sabin. Mais en 1925, Jules Dlougovsky décède brutalement à l’aube de ses 50 ans. Sa veuve Florentine Mége créée une nouvel société « Veuve Dlougovsky, Établissements Dlougovsky » pour poursuivre la société créée par son époux. En 1931, elle cède la fabrique d’appareils d’éclairage et de ferblanterie à Félix Andraud (Paris, 1882 – 1964), sculpteur et fabricant de bronzes d’éclairage qui avait fondé sa société (ancienne maison Cailleux) en 1922, au 105 avenue Gambetta. Andraud était un ancien collaborateur et ami du couple Dlougovsky. Il va diriger au même temps les deux maisons durant quelques années, mais il ne gardera finalement que celle de l’avenue Gambetta jusqu’en 1957.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

GRAND LUSTRE ART DÉCO (1934-1939) BRONZE, NOYER VERNIS ET VERRRE MOULÉ MOUCHETÉ

780,00

Réf. 10299

Grand lustre Art Déco (1934-1939) en bronze, noyer vernis et verre moulé moucheté. La monture est constituée d’un fût central et une demi sphère en bois de noyer tourné et vernis. Le fût est égayé de quatre décors en bronze avec formes des crosses stylisées. Quatre branches-appliques de bronze en forme de crosses supportent quatre coupelles coquillage en verre moulé moucheté avec des tonalités ocres et écrues. Une chaine en maillons et anneaux de bronze fait la jonction avec le cache-bélière à gradins et en laiton embouti. La longueur total du lustre peut être rallongée jusqu’à une longueur totale de 92cm selon vos besoins. Quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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GRAND LUSTRE ART DÉCO BRONZE ET VERRE « NACROCRISTAL » « LA LUSTRERIE BRUXELLOISE »

Réf. 10338

Grand lustre Art Déco en bronze et verre « Nacrocristal » de la Lustrerie Bruxelloise. Peu commun sur le marché d’aujourd’hui, ce lustre est d’une production de La Lustrerie Bruxelloise et la Cristallerie du Val Saint Lambert, présent dans un catalogue du fabricant de la fin des années 1920 ou début les années 1930 (voir images 18, 19 et 20). Une belle monture en bronze doré composée d’une partie centrale en panier aux motifs floraux avec un cerclage central et six montant tout autour richement travaillés. Chaîne et cache-bélière en bronze doré sur le même thème végétal. La verrerie est composée de six panneaux en coquille et une petite vasque centrale, le tout avec des décors floraux. La verrerie utilisée par « La Lustrerie Bruxelloise » était souvent fabriquée par la Cristallerie du Val Saint Lambert. Le verre dit « Nacrocristal » était fabriqué par la Cristallerie d’une façon presque exclusive pour « La Lustrerie Bruxelloise » qui a son tour le proposait aussi à des revendeurs et fabricants d’appareils d’éclairage en Belgique mais aussi en France. La Lustrerie Bruxelloise était une société anonyme dont le siège se trouvait au 35 rue Plantin à Bruxelles (voir image n° 21). Les sept points lumineux sont à douilles à vis culot E27 (voir image n° 15).

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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GRAND LUSTRE ART DÉCO DESVIGNES BRONZE NICKELÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10294

Grand Lustre Art Déco Desvignes en bronze nickelé et verre moulé-pressé. La lustrerie d’art d’Amedée Williams Desvignes (Moidieu, 1908) était une affaire de famille, une famille originaire de l’Isère. Amedée, le frère cadet s’occupait de la création et de la fabrication, puis Alexandre, l’aîné (Moidieu, 1906) avec le benjamin, Henri (Moidieu, 1915) de la boutique et la salle d’exposition. La société fût crée en avril 1931 au 11 rue de l’Alma dans le 1er arrondissement de Lyon, puis les ateliers et le magasin ont déménagé au 42 rue des Remparts d’Ainay dans le 2ème arrondissement. Au début, la société s’appelait « Desvignes, Ferronnerie d’Art » et en plus des ateliers de fabrications, elle possédait un magasin d’exposition et de vente au 2 rue Paul Chenavard dédiée à la lustrerie et à l’électricité (voir images n° 11, 12 et 13). Les créations Desvignes étaient surtout basées dans la création et la fabrication de luminaires en ferronnerie d’art mais ils dédient une partie de la production à la lustrerie en bronze et même parfois avec un mélange de matériaux dans leurs lustres. Au cours des premiers années de la création de la société elle devient « Établissements Desvignes », puis en 1949 « SARL Desvignes Frères » jusqu’à sa radiation en 1963. Une nouvelle société était créé en 1970 sous la dénomination « Desvignes – Montailler SARL » (Montailler était le nom d’épouse de Emma, la soeur aînée Desvignes) qui sera active jusqu’en 2018, puis transformé en « SAS Desvignes Immo », société dédiée à l’achat des biens immobiliers.

Le modèle ici présenté, est constitué d’une monture en bronze nickelé avec une pièce centrale aux décors floraux ciselés. Cette partie centrale accueille une vasque et trois coupelles en verre moulé-pressé blanc dépoli au sable aux motifs rayonnants, verrerie non identifiée pour l’instant mais qu’on trouve assez souvent dans les modèles de l’époque. Trois tiges et un cache-bélière à double gradins qui reprend le même décor floral de la partie centrale. Ce modèle de lustre était aussi proposé en version de six coupelles (voir photo n° 14 d’un lustre déjà vendu par nous-même). La signature « Desvignes » est présente sur la partie centrale du lustre (voir photo n° 9). Quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de la vasque.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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GRAND LUSTRE ART DÉCO EN LAITON EMBOUTI ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ DÉPOLI BLANC

Réf. 10330

Grand lustre Art Déco en laiton embouti argenté et verre moulé dépoli blanc. Cet imposant et peu commun lustre du début des années 1930 est un magnifique travail de dinanderie. Le travail de dinanderie et d’emboutissage des métaux non ferreux était assez fréquent dans la production de luminaires dans la période d’entre les deux guerres, surtout dans la confection de lampes et d’appliques d’une plus petite taille. Dans la pièce proposée ici à la vente, le travail d’emboutissage atteint de proportions supérieures, faisant de ce lustre une pièce de curiosité et de rareté.

La monture est constituée d’une pièce centrale de forme ovoïde à douze pans ou facettes entourée par une ceinture à douze godrons perlés. Six bras de lumière en forme de crosses de fougère, agrémentés de feuilles d’acanthe et des perles de rosée. Six cloches à facettes, suspendues avec des anneaux servent de support et de cache-douilles aux six globes à douze pans ou facettes en verre moulé dépoli blanc avec des filets polis. Un bouton en guise de fin de lustre avec deux parties : une supérieure lise et l’inférieure à godrons. La partie supérieure du lustre est composée d’une pièce conique tronquée entourée d’une ceinture de petites perles. Une chaîne dite « à gorge » permet de passer le câble en toute discrétion. Un cache-bélière conique à double gradin égayé dans la partie supérieure d’une rangée de perles. Les six points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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GRAND LUSTRE ART DÉCO FERRONNERIE D’ART ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10281

Grand lustre Art Déco en ferronnerie d’art et verre moulé-pressé.  Le fer forgé était très présent chez les fabricants des luminaires de la première moitié du XXème siècle en France, même les bronzier d’éclairage les incorporaient dans leurs catalogues. Le lustre ici à la vente est sobre et au même temps élégant et aérien. Il est constitué d’une monture en fer forgé martelé et étampé. Quatre bras en appliques et une partie centrale reçoivent cinq globes en verre moulé-pressé aux décors géométriques. En haut culmine un cache-bélière martelé et étampé. Les cinq points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

GRAND LUSTRE ART DÉCO FIN DES ANNÉES 1930 EN BRONZE FONDU NICKELÉ, NOYER VERNIS

590,00

Réf. 10273

Grand lustre Art Déco de la fin des années 1930 en bronze fondu nickelé, bois de noyer vernis et verre moulé. La monture est constituée d’une pièce centrale à gradins en bois de noyer vernis avec fin de lustre en double boule : une en bois noir vernis et une autre de bronze nickelé. Cinq branches-appliques ovales découpées en bronze fondu nickelé. Une longue tige en bronze fondu nickelé gainée d’un fût en bois de noyer vernis et un cache-bélière à gradins arrondis en bronze fondu nickelé. Cinq coupelles en verre moulé moucheté blanc avec liseré argenté. Les cinq points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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GRAND LUSTRE ART DÉCO H. MOUYNET – SCHNEIDER BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Grand lustre Art Déco d’Henri Mouynet – Schneider en bronze argenté et verre moulé-pressé. Le lustre proposé ici à la vente est d’une production de la fin des années 1920 ou le début des années 1930 de la maison Vve. Mouynet & fils dont Henri Mouynet était à la tête de la société après le décès de sont père. Il se compose d’une monture en bronze argenté sur le thème floral avec un cerclage en laiton repoussé et quatre branches en appliques aux décors floraux stylisés. Quatre tiges regroupées par un pourtour carré en bronze aux décors de feuilles. Le cache-bélière en bronze est richement décoré d’une orée florale autour d’une pointe à godrons. Plusieurs éléments de la monture dont les branches en appliques et le cache-bélière, sont frappés du monogramme M M correspondant à Marius Mouynet, fondateur de la maison (voir image 15). La verrerie est composée d’une vasque centrale et quatre tulipes en verre moulé-pressé aux motifs géométriques et floraux. La vasque et les quatre tulipes sont signés H. Mouynet (voir image 14) et fabriqués par la maison Schneider d’Épinay-sur-Seine. En effet, on trouve souvent ce modèle de verrerie avec la signature Mouynet mais il n’était pas pour autant un modèle exclusif. Mouynet comme la plupart de fabricants d’appareils d’éclairage faisaient appel aux différents fabricants de verrerie pour garnir ces productions en bronze ou en fer forgé. Il est utile de préciser qu’une verrerie signé par un fabricant d’appareils d’éclairage ne signifie pas que il soit le fabricant de cette verrerie puisqu’il n’était pas un verrier mais un bronzier ou ferronnier. Une verrerie signée ne désigne pas forcement le fabricant de l’appareil d’éclairage, arrêtons de faire l’amalgame. Cinq points lumineux à douilles baïonnette culot B22 dont quatre en appliques et un dans la vasque centrale.

La maison Mouynet a été fondée en 1892 par Pierre Antony Marius Mouynet (Sète, 15 août 1853- Paris, 12 juin 1923), qui était tout d’abord un négociant voyageur (voir image 16 et 17). La première adresse professionnelle parisienne de Marius Mouynet était aux numéros 74-76 rue Amelot comme fabricant des bronzes d’éclairage. A la mort de son fondateur, son fils Henry Mouynet (Paris, 9 novembre 1885 – Cannes, 19 février 1969) reprend l’affaire familiale. Henry, avait obtenu en juillet 1907, le Diplôme d’Ingénieur de l’Ecole des Arts et Manufactures de Paris. La société reprise par Henri s’appellera par la suite Mouynet et Fils et continuera l’affaire commencé par le père à la même adresse jusqu’en 1926 en rajoutant à son activité la fabrication d’appareils d’éclairage : gaz, électricité et pétrole. Aux débuts des années 1920, Henri Mouynet et son épouse divorcée Jeanne Roche achètent un terrain à M. Orlin situé au 11 rue Etienne Marcel prolongée (aujourd’hui 5, rue Roger Verlomme 75003) et construisent en deux étapes la future nouvelle adresse du siège de la société. La activité continuera tout au long de la décennie jusqu’en janvier 1932 ou la veuve Mme Marius Mouynet et son fils Henri créeront entre eux une Société a responsabilité limitée d’un capital social de 640 000 francs pour la vente de tous appareils d’éclairage à gaz, d’électricité et de pétrole. Le siège social est fixé au numéro 11 rue Etienne Marcel prolongée et la durée de la Société est fixée à 20 ans à partir rétroactivement du 1 octobre 1931. Son seul et unique gérant sera Henry Mouynet à qui sa veuve mère lui donne les plans pouvoirs ; la société s’appellera alors Veuve Mouynet et Fils. Les premières difficultés financières commencent en 1933 et le siège de la société est transféré au 21 rue Mercœur. Henry Mouynet, à causes des emprunts hypothécaires qu’il ne peut pas rembourser dans les conditions prévues au Crédit Foncier de France. Il en résulte une « vente sur saisie immobilière » à la ‘Chambre des Criées’. Dans une « folle enchère », en 1937, l’immeuble revient par adjudication à M. Chaïm, dit Henri Markhbein (Rowno,1891), juif né en Russie et naturalisé français qui était un important marchant d’articles d’éclairage et de verrerie. Plus tard le siège de la Société Veuve Mouynet et Fils sera transféré au 38 rue d’Alsace à Courbevoie où elle sera déclarée en faillite en avril 1938 puis liquidée.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

GRAND LUSTRE ART DÉCO LAITON EMBOUTI, BRONZE ET TULIPES EN VERRE MARBRÉ

670,00

Réf. 10313

Grand lustre Art Déco laiton embouti, bronze et tulipes en verre moulé marbré. Une monture constitué d’une partie centrale composée d’une série des fûts à six pans de différentes dimensions et formes en laiton embouti. Au centre, trois bras de lumières en col de cygne et ces griffes-chapeaux. Trois grandes tulipes à dix pans en verre moulé marbré aux tonalités ocre, rouge et beige. Un globe à six pans en laiton embouti couronné d’un poignard en bronze en guise de fin de lustre. Une chaîne relie le tout au cache-bélière à six pan en laiton embouti. Les trois points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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GRAND LUSTRE ART DÉCO PETITOT – DEGUÉ BRONZE VIEIL ARGENT VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 10284

Grand lustre Art Déco PETITOT – DEGUÉ en bronze vieil argent et verre moulé-pressé. Belle monture en bronze vieil argent aux motifs floraux et géométriques de la maison Petitot (Alexandre Hubert, Paris, 1877-1938), avec le monogramme AP (Alexandre Petitot et non Antonin Petitot comme par erreur est écrit souvent) dans le corps de la monture. Le modèle est présent dans les catalogues des années 1930 du fabricant parisien (voir image n° 9) mais avec un montage des verreries Muller Frères Lunéville. Ici, la maison Petitot opte pour un montage avec des verreries moulés-pressées fabriquées aux Cristalleries de Compiègne par Les verreries d’art Degué, modèles de vasque et tulipes dit « Roses modernes », dont la vasque n°580 et les tulipes n°532 (numérotation du catalogue du fabricant, voir images n° 10 et 11). Les fabricants de bronzes d’éclairage utilisaient souvent une même monture de lustre avec des verreries différentes selon leurs fournisseurs. Petitot utilisait pour ses luminaires les verreries de Muller Frères Lunéville, Degué, Gauthier et bien d’autres fabricants.  Quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de la vasque.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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GRAND LUSTRE ART DÉCO PIERRE MAYNADIER BRONZE ARGENTÉ ET PÂTE DE VERRE MULLER FRÈRES LUNÉVILLE

Réf. 10336
Grand lustre Art Déco de Pierre Maynadier en bronze argenté et pâte de verre. Le lustre proposé ici à la vente, et peu commun sur le marché d’aujourd’hui, il est d’une production de Pierre Maynadier présent dans le catalogue du fabricant de l’année 1930, modèle 373 (voir images 12, 13 et 14). Une belle et robuste monture en bronze argenté composée d’une partie centrale en hexagone égayée de six ailettes en échelle et douze panneaux en pâte de verre mouchetée blanche double couche que le fabricant désigne comme « opaline moucheté ». En réalité, ces sont des verreries produites par Muller Frères Lunéville. Six tiges prolongées en appliques et surmontées d’ailettes qui aboutissent sur six feux avec ses grands cache-douilles en bronzes. Six grands cylindres en pâte de verre mouchetée blanche double couche font office d’abat-jours donnant une chaude lumière tamisée. Les tiges sont regroupées par une pièce centrale qui rappelle le décor de caches-douilles. Un cache-bélière hexagonal à douze pans et à plusieurs gradins alternant des roues dentelées et lisses.

Jean-Pierre-Léon MAYNADIER (Paris, 1888 – 1948), grand gaillard d’un mètre quatre vingt, était né au 3 Place des Vosges, d’un père garçon des recettes et d’une mère couturière et concierge. Il avait commencé sa carrière professionnelle en tant que employé du commerce, puis dessinateur, mais il va se former vite au métier de la forge pour démarrer quelques années plus tard une activité de ferronnier d’art spécialisé dans les appareils d’éclairage. Blessé à plusieurs reprises durant la guerre de 14-18, il atteint avec bravoure le grade de sergent. Après la première guerre, il va se mettre finalement à son compte en acquérant en 1924 la société Vertadier, doreur sur métaux au 12 rue Saint-Gilles où il va développer son activité de ferronnerie d’art : « fers d’art appliqués aux luminaires » à partir de 1925. Il va vite se mettre à la recherche des nouveaux locaux industriels pour installer ses ateliers et son magasin. C’est alors qu’il s’installe au 36 rue Amelot et élargie sa gamme d’appareils d’éclairage en bronze. En 1934 la société devient P. Maynadier et Cie, une association avec Charles Besnus, anciennement « Cherrier et Besnus ». Ce dernier avait succédé à son beau-père René Massin, bronzier d’éclairage, qui avait sa société à la même adresse que Maynadier. En 1934, Pierre Maynadier récupère la manufacture de bronzes d’éclairage de Marcel Fritsch au 25 rue Saint-Sébastien et installe des nouveaux ateliers. Tout au long de sa carrière Pierre Maynadier va déssiner la plus part de ses luminaires. Pour la verrerie, Maynadier fait appel très assidûment à Muller Frères Lunéville, à qui il fait fabriquer des modèles exclusifs. On trouve aussi dans les montages de ses appareils d’éclairage des verreries de Dégué, de Schneider et de Daum. À sa mort en 1948, son fils Pierre Jean Serge récupère la direction de la société, puis dans les années 1960 elle sera administrée par Pierre Martin jusqu’à cessation d’activité.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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HETTIER & VINCENT/BACCARAT : LUSTRE ART DÉCO FERRONNERIE D’ART ET CRISTAL DE BACCARAT

1 680,00

Réf. 10373

Hettier & Vincent/Baccarat : lustre Art Déco ferronnerie d’art et cristal de Baccarat. Le lustre proposé ici à la vente de la célèbre maison parisienne Hettier & Vincent, est une rareté sur le marché du luminaire Art Déco. Cette réalisation du duo Hettier & Vincent, est présente dans un catalogue du fabricant du début des années 1930, sous le modèle n° 9264 (voir images 18, 19, 20 et 21). L’association entre le dessinateur Charles-Louis Hettier (Paris, 1868) et Calixte Vincent (Lachapelle-Graillouse, 1876 – Paris, 1945) date de 1909. Installés depuis leur début au 43 rue des Tournelles, ils ont petit à petit grandi leurs affaires et ils vont racheter en 1929 la maison Millet de la Place des Vosges. Après la seconde Guerre Mondial la veuve Vincent fait tourner la société jusqu’à la revente. Une nouvelle société sera créée en 1954, qui sera clôturée en 1989. Au début des années 1990, la maison Lucien Gau rachète l’intégralité des catalogues et moules de l’ancienne maison Hettier & Vincent ainsi que ceux des Établissements Petitot après leur clôture en 2009.

Le modèle ici présenté à la vente, dont une monture en fer forgé, est composée d’un corps central de quatre tiges et quatre bras en appliques de volutes. Un cache-bélière à larges godrons et cinq grandes griffes cache-douilles en acier. Cinq feux, dont quatre en appliques, et un cinquième en guise de fin de lustre, tous équipés de cinq globes en cristal fabriqués spécialement par les mondialement célèbres Cristalleries de Baccarat pour Hettier & Vincent, dont la signature est présente sur chaque globe. On peut voir sur le même catalogue les images de deux autres modèles dont la mention « cristal de Baccarat » est bien signalé (voir image 19).

La plupart des luminaires en fer forgé proposé par Hettier & Vincent, étaient réalisés sous commande spéciale par le célèbre ferronnier d’art marseillais Louis Trichard, fils (Marseille, 1893-1978). Trichard, vraie force de la nature, car mutilé de guerre, avait sa forge et sa galerie d’exposition « Au Singe Vert » à Marseille, au 150 rue de Rome. Trichard, plusieurs fois gravement blessé durant la guerre de 1914-1918, travaillait le fer d’un seul bras valide, admirable preuve de réadaptation professionnelle et d’amour de l’art. C’était un digne l’héritier de son père, appelé aussi Louis-Joseph Trichard (Marseille, 1861-1923), un des plus importants ferronniers d’art de France, décédé en 1923. Louis Trichard, fils, est l’auteur de l’exécution en 1924 des imposantes grilles du Parc Chanot à Marseille, une année après la mort de son père.

Les cinq points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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HETTIER ET VINCENT / MULLER FRÈRES LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET PÂTE DE VERRE

Réf. 10348

Lustre Art Déco HETTIER ET VINCENT en bronze argenté et pâte de verre Muller Frères Lunéville. Une élégante et aérienne réalisation du duo Hettier et Vincent présente dans le catalogue du fabricant de 1929 (voir images de 17 à 20). L’association entre le dessinateur Charles Louis Hettier (Paris, 1868) et Calixte Vincent (Lachapelle-Graillouse, 1876 – Paris, 1945) date au moins des années avant la Guerre de 14-18, vers 1912. Installés depuis leur début au 43 rue des Tournelles ils ont petit à petit grandi leurs affaires et ils vont racheter en 1929 la maison Millet de la Place de Vosges. Après la seconde Guerre Mondial la veuve Vincent fait tourner la société jusqu’à la revente.

Le modèle ici présenté à la vente (n° 8079 dans le catalogue du fabricant de 1929), est composé d’une monture en bronze argenté à trois branches-appliques. Les trois bras en appliques présentent les caches-douilles à godrons très caractéristiques de la maison. Une partie centrale en forme de torchère rayonnante et sa pigne de fin de lustre. Le cache-bélière avec le même traitement rayonnant et bordure supérieure perlée est un élément largement utilisé par Hettier et Vincent dans ses productions d’entre les deux guerre. Il est d’ailleurs proposé à la vente dans le même catalogue de 1929 (voir image n° 18). Les quatre points lumineux sont équipés des tulipes avec bords festonnés en pâte de verre la verrerie Muller Frères à Lunéville. Les tulipes avec le style marmoréen c’est un dégradé de tonalités poudrées de blanc, rose et bleu. Elles sont toutes la signature dégagée à l’acide « Muller Frères Lunéville ». Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »