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MAYNADIER : LAMPE DE TABLE FERRONNERIE D’ART ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ BLANC

Réf. 20357

Maynadier : lampe de table ferronnerie d’art et verre moulé-pressé blanc. La lampe proposée ici à la vente est une production de Pierre Maynadier des années 1930 dont on peut retrouver des éléments très caractéristiques de son esthétique du travail du fer forgé. La lampe, conçue d’un seul corps, est constituée d’une base pyramidal estampée. Trois tiges remontantes égayées de trois roues-fleurs très présentes dans la production fer forgé de Maynadier (voir images 6 et 9). Un cerclage-griffe avec ses trois vises de serrage. Un grand globe en verre moulé-pressé blanc aux motifs « bouquet d’hortensias ». On peut trouver le même traitement du luminaire mais souvent présenté comme « lanterneau » selon la dénomination du propre Maynadier dans ces catalogues (Voir images 9 et 10). Le point d’éclairage est à douille baïonnette culot B22.

Jean-Pierre-Léon MAYNADIER (Paris, 1888 – 1948), grand gaillard d’un mètre quatre vingt, était né au 3 Place des Vosges, d’un père garçon des recettes et d’une mère couturière et concierge. Il avait commencé sa carrière professionnelle en tant que employé du commerce, puis dessinateur, mais il va se former vite au métier de la forge pour démarrer quelques années plus tard une activité de ferronnier d’art spécialisé dans les appareils d’éclairage. Blessé à plusieurs reprises durant la guerre de 14-18, il atteint avec bravoure le grade de sergent. Après la première guerre, il va se mettre finalement à son compte en acquérant en 1924 la société Vertadier, doreur sur métaux au 12 rue Saint-Gilles où il va développer son activité de ferronnerie d’art : « fers d’art appliqués aux luminaires » à partir de 1925. Il va vite se mettre à la recherche des nouveaux locaux industriels pour installer ses ateliers et son magasin. C’est alors qu’il s’installe au 36 rue Amelot et élargie sa gamme d’appareils d’éclairage en bronze. En 1934 la société devient P. Maynadier et Cie, une association avec Charles Besnus, anciennement « Cherrier et Besnus ». Ce dernier avait succédé à son beau-père René Massin, bronzier d’éclairage, qui avait sa société à la même adresse que Maynadier. En 1934, Pierre Maynadier récupère la manufacture de bronzes d’éclairage de Marcel Fritsch au 25 rue Saint-Sébastien et installe des nouveaux ateliers. Tout au long de sa carrière Pierre Maynadier va déssiner la plus part de ses luminaires. Pour la verrerie, Maynadier fait appel très assidûment à Muller Frères Lunéville, à qui il fait fabriquer des modèles exclusifs. On trouve aussi dans les montages de ses appareils d’éclairage des verreries de Dégué, de Schneider et de Daum. À sa mort en 1948, son fils Pierre Jean Serge récupère la direction de la société, puis dans les années 1960 elle sera administrée par Pierre Martin jusqu’à cessation d’activité.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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PAIRE D’APPLIQUES ART DÉCO VERRERIE DES VOSGES BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf.40335

Paire d’appliques Art Déco Verrerie des Vosges en bronze argenté et verre moulé-pressé. Cette paire d’appliques est constitué d’une monture en bronze argenté sur le thème des roses modernes. Les longues platines richement décorées d’un bouquet de roses avec ces feuilles et tiges épineuses. Un bec ou col tubulaire lisse. Deux tulipes en verre moulé-pressé (non signées) aux dessins de roses modernes, produites par la Verrerie des Vosges et commercialisées, entre autres, par Aubin Ollier et Cie. On retrouve les tulipes dans un catalogue du fabricant ainsi que dans celui du grossiste (voir images 12-14). Les points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

La Verrerie des Vosges à Lutzelbourg (Moselle), était rachetée dans les années 1920 par la famille Drouhot, propriétaires entre autres, des Verreries de Dijon dont la marque Noverdy était celle de leurs verreries d’éclairage. Une erreur trouvée fréquemment c’est celle de vouloir appeler Noverdy comme patronyme de Jean Drouhot. « Jean Noverdy » c’est tout simplement une invention sorti de l’imagination débordante de quelqu’un qui n’a jamais voulu prendre la peine de faire une véritable investigation. Hélàs ! les mauvaises informations ont la vie dure et on continue à écrire et à lire toute sorte d’information non vérifiée.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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PAIRE D’APPLIQUES DOUBLE FEUX ART DECO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ ETS. GAUTHIER

Réf. 40367

Paire d’appliques doubles Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé Ets. J. Gauthier. Cette élégante paire d’appliques doubles feux est d’une production de la fin des années 1930. Les montures sont composées de grandes platines en forme de lyre, égayées de volutes végétales très caractéristiques de la période d’entre 1925 et 1940. Deux bras de lumières pour chaque applique avec des enfilades de pièces en cristal taillé et ces caches-douilles en laiton. Les verreries sont d’une production des Établissement Jean Gauthier sorties de son usine d’Ézanville. Quatre coupelles en verre moulé-pressé épais dépoli avec des réserves claires. Ce modèle de verrerie était appelé « verrerie dalle éclatée » (voir image 13) par certains fabricants de bronzes d’éclairage comme Louis Vandamme, qui les utilisera largement pour le montage de ses luminaires et notamment visibles sur son catalogue de ventes pour l’année 1936. Elles sont été aussi appelées « verrerie dalle absinthe « , car elles ont été aussi produites dans un verre opalescent laiteux. Cette ligne de verrerie a été déclinée en différentes formes pour dans des coupelles et dans des tulipes, utilisant toujours le même motif tout autour.

Les Établissements Jean Gauthier (Rochefort-sur-Loire, 1879 – Nice, 1958) éditaient dans leurs usines d’Ézanville une importante production de verrerie d’éclairage. Dès 1931, date de la création d’une nouvelle société et l’achat des usines de Seine-et-Oise, avec le concours de son petit frère, Ernest Gauthier (Coulon, Allier, 1889) et Fernand-Henri Caillot, tous deux directeurs techniques de la production. Beaucoup des verreries sorties de l’usine située 5, 18 et 20 rue de l’Église à Ézanville (Seine-et-Oise) ne sont jamais signées, comme tel est le cas dans les appliques proposées ici à la vente. Les Établissement Jean Gauthier ont été dissous le 1er juin 1960.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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PAIRE D’APPLIQUES DOUBLES ART DÉCO LOUIS VANDAMME – EJG / EZANVILLE

Réf. 40309

Paire d’appliques doubles Art Déco VANDAMME – EJG / EZANVILLE. Elégantes et modernistes appliques de la maison VANDAMME (Louis Émile Augustin VAN DAMME, Bruxelles, 1886 – Paris, 1955), avec le monogramme L. Vandamme Paris et le numéro de pièce 2091 (voir image n° 9). Les montures sont d’un mélange d’acier, aluminium et laiton doré aux formes modernistes. Il s’agit d’une création de la fin des années 1930. Les verreries sont constituées de quatre coupelles en verre moulé-pressée avec bordure en gouttelettes et motifs rayonnants produits par les Etablissements Jean Gauthier (Rochefort-sur-Loire, 1879 – Nice, 1958) dans son usine d’Ezanville. Beaucoup des verreries sorties de l’usine située 5, 18 et 20 rue de l’Eglise à Ezanville (Seine et Oise) ne sont jamais signées. Les Etablissement Jean Gauthier ont été dissous le 1 juin 1960. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

PAIRE DES LAMPES BOUT DE TABLE ART DÉCO BRONZE NICKELÉ ET CUIVRÉ, MARBRE ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

590,00

Réf. 20323

Paire de lampes dites « bout de table » Art Déco en bronze nickelé et cuivré, marbre et verre moulé-pressé. Cette paire de lampes de la seconde partie des années 1930, sont constituées d’une basse en marbre noir et blanc veiné avec piétinements circulaires en bronze cuivré. Une embase ronde à gradins en bronze nickelé, puis un bras double en balance en bronze cuivré et nickelé. Chaque lampe, à double feu, est équipée des globes en verre moulé-pressé blanc aux décors de craquelures. Électricité refaite à neuf avec câble torsadé tissu gris argenté, interrupteurs et prises. Les quatre points lumineux sont à douille à vis culot B22. Les dimensions renseignées sont pour chaque lampe. Le poids est la totalité de deux lampes.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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PETITOT/DEGUÉ : SUSPENSION-PLAFONNIER ART DÉCO CUIVRE, BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 30372

Petitot/Degué : suspension-plafonnier art Déco en cuivre et bronze argenté, verre moulé pressé. Le modèle proposé ici à la vente est un luminaire présent dans le catalogue de 1934, de la maison Petitot (Alexandre Hubert, Paris, 1877-1938), numéro de modèle 750 (voir images n° 14 et 15). Cet suspension-plafonnier de style très moderniste pour l’époque, est constituée d’une monture en cuivre et bronze argenté dissimulée sous deux grandes vasques de 45 et 35 cm en verre moulé-pressé dépoli blanc avec des réserves claires ou filets polis. La verrerie est une production de la Verrerie d’art Degué (Cristalleries de Compiègne). Beaucoup des verreries d’éclairage produites à Compiègne durant cette période ne sont jamais signées, mais on reconnaît la production du fabricant, largement utilisée par les fabricants d’appareils d’éclairage de l’époque. On retrouve dans un catalogue Degué des verreries semblables (voir images n° 16 et 17). Un grand cache-bélière à gradins et le monogramme AP (Alexandre Petitot et non Antonin Petitot comme par erreur est écrit souvent) dans le corps de la monture. Petitot utilisait pour ses luminaires les verreries de Muller Frères Lunéville, Degué, Gauthier et bien d’autres fabricants. Deux points lumineux à douille baïonnette culot B22. À signaler une légère fente dans le cache-bélière sans grande importance et peu visible.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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SUSPENSION ART DÉCO LAITON VIEIL ARGENT ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ DÉPOLI BLANC

Réf. 30354

Suspension Art Déco en laiton vieil argent et verre moulé-pressé. Cette élégante suspension est composée d’une monture constitué d’un cache-bélière en laiton vieil argent estampé aux motifs floraux et rayonnant; trois chaînes à emboutissage moderne et trois boutons d’attaches en cercles concentriques. Une vasque centrale en verre moulé-pressé dépoli blanc aux motifs géométriques et réserves claires. Un seul point lumineux à douille baïonnette culot B22. Idéal pour éclairer une petite pièce, un couloir ou une entrée.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »Suspens

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SUSPENSION LANTERNE ART DÉCO FERRONNERIE D’ART ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 30274

Suspension-lanterne Art Déco en ferronnerie d’art et verre moulé-pressé. Belle réalisation pour cette suspension lanterne dont la monture est en fer forgé martelé et étampé qui évoque le travail du ferronnier français, d’origine tchécoslovaque, André Kovacs (Parkany, 1876 – Paris, 1957), notamment dans le cache-bélière en lames ouvertes ainsi que dans le traitement des bras en escaliers, éléments qu’on retrouve souvent dans sa production des années 1930.  Un grand globe en verre moulé-pressé dépoli et polis blanc aux motifs géométriques. Un seul point lumineux à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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SUSPENSION VASQUE ART DÉCO ÉMILE DOMAINE – DEGUÉ BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 30312

Suspension vasque Art Déco Émile Domaine – Degué en bronze argenté et verre moulé-pressé. Une monture en bronze argenté avec des boutons de serrage en bronze ciselé décors marguerite avec le monogramme « E. D. », à savoir Émile Domaine. Le fabricant parisien est né en 1879 à Saint-Nicolas, dans la vallée d’Aoste, en Italie. Domaine, associé à Sagnol avait leur fabrique de bronzes d’éclairage au 126 rue Saint-Maur dans le 11ème arrondissement de Paris. Pendant leur période d’association « Domaine et Sagnol » utilisaient le monogramme « DS » pour signer leur réalisations. Puis Domaine reste seul dans la société qui devient « Établissements Domaine » (monogramme de signature « E. D. ») qui sera reprise en 1930 sous la dénomination « Anciens Établissements Domaine » jusqu’à sa faillite en en août 1937 (voir image n°13). Une grande vasque en verre moulé-pressé signée Degué et fabriquée aux Cristalleries de Compiègne. Elle est présente dans un catalogue du fabricant des années 1930 (voir images 9, 10, 11, et 12) sous le numéro de modèle 554 dite « Fond de panier » et elle reproduit le tressage d’un panier rempli de marguerites. Un seul point lumineux qui est à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »