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MAURICE MODEL – CRISTALLERIE DE VERDUN APPLIQUE DOUBLE ART DECO BRONZE ARGENTÉ

Réf.40349

Maurice Model – Cristallerie de Verdun applique double en bronze argenté et verre moulé-pressé. Une monture en bronze argenté composée d’une platine en forme d’écusson de chasse et décor poinçonné au marteau. Deux bras d’appliques décorés et deux cache-douilles en laiton argenté avec petite boule de finition vers le bas. La monture ne présente pas de monogramme sauf numéro de modèle donc elle n’a pas pu être identifiée. Deux coupelles en verre moulé-pressé blanc aux motifs d’étoiles de David et géométriques qui sont d’une fabrication de la Cristallerie de Verdun, une de plus importantes productions de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres. Les coupelles ne sont pas signées, d’ailleurs elles ne le sont jamais, sauf sur certaines vasques apparaît la mention moulé dans le verre « M. Model Verdun », « Verdun », « Verdun France ». Les deux points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

La Cristallerie de Verdun se trouvait au 10 rue Dame-Zabée à Verdun, elle fut créée par Maurice Jules MODEL (Paris, 1900 – 1973) en 1928. Model débute son activité en 1923 avec la société Model et Lange au 64 boulevard de Ménilmontant, un atelier des fleurs et des coquillages lumineux. À partir de 1925, sa société devient Établissements Maurice Model et les nouvelles installations seront fixées au 18 rue des Fêtes, jusqu’à la cessation d’activité durant la seconde guerre. Dans l’usine de Verdun, Model fabriquait de la verrerie d’art, notamment de la verrerie d’éclairage. Il oriente aussi ces créations dans la présentation d’étalages et des vitrines en verre dont il est à l’origine de leurs transformations. Il va aussi créer du flaconnage de luxe pour des parfums des grands couturiers français. Dans la foulée, Maurice Model va créer une entreprise de luminaires dont les installations sont mises à disposition de l’aviation militaire en 1939. La plupart des créations de Model étaient destinées à l’exportation, mais pas que. Les Cristalleries de Verdun seront fortement endommagées durant le bombardement du 15 juin 1940, par la suite, elles resteront fermées définitivement. Les verreries d’éclairage, souvent signées « M. Model Verdun », « Verdun », « Verdun France » sont très remarquables dans la production de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres, car elles ont un dépoli à grain très fin qui donne un aspect satiné au verre. On retrouve souvent les mêmes pièces signées ou non signées, et même parfois un même modèle avec la signature d’un autre fabricant d’éclairages.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

MAURICE MODEL/VERDUN/PRIMAFLORE : LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ VERRE MOULÉ-PRESSÉ

960,00

Réf. 10355

Maurice Model / Verdun / Primaflore : lustre Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé. Le lustre proposé ici à la vente, est d’une fabrication des années 1930, constitué d’une monture en bronze fondu argenté sur le thème floral. Trois branches à section carré avec trois appliques avec des décors fleuris. Un cache-bélière ou pavillon en bronze qui reprend les motifs végétaux des appliques. La verrerie signée « Primaflore France », est composée d’une vasque centrale et trois tulipes en verre moulé-pressé, dépoli satiné blanc. La signature « Primaflore » est une production de Maurice Model dans sa Cristallerie de Verdun. Ce modèle de verrerie fleurie, était un thème cher de Maurice Model qu’il va reproduire sous différents modèles tout au long de sa production. On pense, que la signature « Primaflore » était destinée à une commande spéciale pour les Grands Magasins du Printemps à Paris et non une ligne de production qui était destinée à une commercialisation plus large auprès des différents fabricants d’éclairage. D’ailleurs, sous cette signature, il existe uniquement ce modèle, souvent décliné en vasque et en tulipes. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

La Cristallerie de Verdun se trouvait au 10 rue Dame-Zabée à Verdun, elle fut créée par Maurice Jules MODEL (Paris, 1900 – 1973) en 1928. Model débute son activité en 1923 avec la société Model et Lange au 64 boulevard de Ménilmontant, un atelier des fleurs et des coquillages lumineux. À partir de 1925, sa société devient Établissements Maurice Model et les nouvelles installations seront fixées au 18 rue des Fêtes, jusqu’à la cessation d’activité durant la seconde guerre. Dans l’usine de Verdun, Model fabriquait de la verrerie d’art, notamment de la verrerie d’éclairage. Il oriente aussi ces créations dans la présentation d’étalages et des vitrines en verre dont il est à l’origine de leurs transformations. Il va aussi créer du flaconnage de luxe pour des parfums des grands couturiers français. Dans la foulée, Maurice Model va créer une entreprise de luminaires dont les installations sont mises à disposition de l’aviation militaire en 1939. La plupart des créations de Model étaient destinées à l’exportation, mais pas que. Les Cristalleries de Verdun seront fortement endommagées durant le bombardement du 15 juin 1940, par la suite, elles resteront fermées définitivement. Les verreries d’éclairage, souvent signées « M. Model Verdun », « Verdun », « Verdun France » sont très remarquables dans la production de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres, car elles ont un dépoli à grain très fin qui donne un aspect satiné au verre. On retrouve souvent les mêmes pièces signées ou non signées, et même parfois un même modèle avec la signature d’un autre fabricant d’éclairages.

 

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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MAYNADIER : LAMPE DE TABLE FERRONNERIE D’ART ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ BLANC

Réf. 20357

Maynadier : lampe de table ferronnerie d’art et verre moulé-pressé blanc. La lampe proposée ici à la vente est une production de Pierre Maynadier des années 1930 dont on peut retrouver des éléments très caractéristiques de son esthétique du travail du fer forgé. La lampe, conçue d’un seul corps, est constituée d’une base pyramidal estampée. Trois tiges remontantes égayées de trois roues-fleurs très présentes dans la production fer forgé de Maynadier (voir images 6 et 9). Un cerclage-griffe avec ses trois vises de serrage. Un grand globe en verre moulé-pressé blanc aux motifs « bouquet d’hortensias ». On peut trouver le même traitement du luminaire mais souvent présenté comme « lanterneau » selon la dénomination du propre Maynadier dans ces catalogues (Voir images 9 et 10). Le point d’éclairage est à douille baïonnette culot B22.

Jean-Pierre-Léon MAYNADIER (Paris, 1888 – 1948), grand gaillard d’un mètre quatre vingt, était né au 3 Place des Vosges, d’un père garçon des recettes et d’une mère couturière et concierge. Il avait commencé sa carrière professionnelle en tant que employé du commerce, puis dessinateur, mais il va se former vite au métier de la forge pour démarrer quelques années plus tard une activité de ferronnier d’art spécialisé dans les appareils d’éclairage. Blessé à plusieurs reprises durant la guerre de 14-18, il atteint avec bravoure le grade de sergent. Après la première guerre, il va se mettre finalement à son compte en acquérant en 1924 la société Vertadier, doreur sur métaux au 12 rue Saint-Gilles où il va développer son activité de ferronnerie d’art : « fers d’art appliqués aux luminaires » à partir de 1925. Il va vite se mettre à la recherche des nouveaux locaux industriels pour installer ses ateliers et son magasin. C’est alors qu’il s’installe au 36 rue Amelot et élargie sa gamme d’appareils d’éclairage en bronze. En 1934 la société devient P. Maynadier et Cie, une association avec Charles Besnus, anciennement « Cherrier et Besnus ». Ce dernier avait succédé à son beau-père René Massin, bronzier d’éclairage, qui avait sa société à la même adresse que Maynadier. En 1934, Pierre Maynadier récupère la manufacture de bronzes d’éclairage de Marcel Fritsch au 25 rue Saint-Sébastien et installe des nouveaux ateliers. Tout au long de sa carrière Pierre Maynadier va déssiner la plus part de ses luminaires. Pour la verrerie, Maynadier fait appel très assidûment à Muller Frères Lunéville, à qui il fait fabriquer des modèles exclusifs. On trouve aussi dans les montages de ses appareils d’éclairage des verreries de Dégué, de Schneider et de Daum. À sa mort en 1948, son fils Pierre Jean Serge récupère la direction de la société, puis dans les années 1960 elle sera administrée par Pierre Martin jusqu’à cessation d’activité.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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PAIRE D’APPLIQUES ART DÉCO CHARLES RANC – SCHNEIDER BRONZE ET LAITON ARGENTÉ ET PÂTE DE VERRE

Réf. 40326

Paire d’appliques Art Déco Charles Ranc – Schneider en bronze et laiton argenté et pâte de verre moucheté blanc. Cette paire d’appliques est constitué d’une monture en bronze et laiton argentés frappées du monogramme CR qui désigne la maison de bronzes d’éclairage Charles Ranc, devenue en 1928 la société en commandite simple « Ranc Frères », suite à la mort de son fondateur en 1927. Les deux platines ovales sont en laiton argenté sur lesquelles deux bras en bronze argenté à la forme de pipe ou de corne soutiennent deux coupelles en céramique blanche mouchetée. Deux coupelles en pâte de verre mouchetée blanche typiques de la maison Schneider non signées. A signaler deux petites cabosses sur une des platines en laiton à peine perceptibles.

La maison parisienne Charles Ranc fût fondée en 1909 par l’ardéchois Charles Eugène Frédéric RANC (Rocles, 1871 – Paris, 1927) au 64 rue de la Folie Méricourt. La maison Ranc est distinguée par la qualité de ses bronzes et le fin travail de ciselage. Une belle production d’appareils d’éclairage qui va se perpétuer avec ces fils, après le décès de son fondateur. La maison Charles Ranc devient alors Ranc Frères. Elle regroupait les enfants de Charles dont Eugène-André (Lyon, 1898), Charles-Clément (Lyon 1899), Auguste-Etienne et Madeleine-Henriette, devenue Mme Paul-Jules Berjot. La adresse de la maison fût transférée en 1930 au 97 rue Oberkampf. La société est restée active au moins jusqu’aux années 1990. Les deux points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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PAIRE D’APPLIQUES ART DÉCO MARCEL BAISE BRONZE ET VERRE ÉMAILLÉ

Réf. 40305

Paire d’appliques Art Déco Marcel Baise bronze et verre émaillé. Cette paire d’appliques en bronze doré sont frappées de la signature « M. Baise » (voir photo n° 11), Marcel Ludovic BAISE, sculpteur, (Paris, 1894 – Lège-Cap-Ferret, 1982). Fils d’un employé de chemin de fer, le jeune Marcel commença une carrière en tant que ciseleur, puis il deviendra monteur en bronze en parallèle à la sculpture, sa passion. Durant la Guerre de 14-18 il connaîtra une bordelaise qu’il épousera en 1916, et s’installera définitivement en 1921 à Bordeaux, au 32 et 33 rue de Belfort ou il va continuer son activité. La paire d’appliques ici proposées de la fin des années 1920, sont finement ciselées sur le thème végétal : vigne et glycine. Les deux montures malgré leurs ressemblances ne sont pas identiques quand à la décoration : une sur le thème de la vigne, l’autre sur le thème de la glycine. C’est un choix du créateur. Deux belles tulipes en verre moulé émaillé sur le thème de la glycine aux tonalités rouges, bordeaux et blanc. Les deux points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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PAIRE D’APPLIQUES ART DÉCO VERRERIE DES VOSGES BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf.40335

Paire d’appliques Art Déco Verrerie des Vosges en bronze argenté et verre moulé-pressé. Cette paire d’appliques est constitué d’une monture en bronze argenté sur le thème des roses modernes. Les longues platines richement décorées d’un bouquet de roses avec ces feuilles et tiges épineuses. Un bec ou col tubulaire lisse. Deux tulipes en verre moulé-pressé (non signées) aux dessins de roses modernes, produites par la Verrerie des Vosges et commercialisées, entre autres, par Aubin Ollier et Cie. On retrouve les tulipes dans un catalogue du fabricant ainsi que dans celui du grossiste (voir images 12-14). Les points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

La Verrerie des Vosges à Lutzelbourg (Moselle), était rachetée dans les années 1920 par la famille Drouhot, propriétaires entre autres, des Verreries de Dijon dont la marque Noverdy était celle de leurs verreries d’éclairage. Une erreur trouvée fréquemment c’est celle de vouloir appeler Noverdy comme patronyme de Jean Drouhot. « Jean Noverdy » c’est tout simplement une invention sorti de l’imagination débordante de quelqu’un qui n’a jamais voulu prendre la peine de faire une véritable investigation. Hélàs ! les mauvaises informations ont la vie dure et on continue à écrire et à lire toute sorte d’information non vérifiée.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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PAIRE D’APPLIQUES DOUBLE FEUX ART DECO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ ETS. GAUTHIER

Réf. 40367

Paire d’appliques doubles Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé Ets. J. Gauthier. Cette élégante paire d’appliques doubles feux est d’une production de la fin des années 1930. Les montures sont composées de grandes platines en forme de lyre, égayées de volutes végétales très caractéristiques de la période d’entre 1925 et 1940. Deux bras de lumières pour chaque applique avec des enfilades de pièces en cristal taillé et ces caches-douilles en laiton. Les verreries sont d’une production des Établissement Jean Gauthier sorties de son usine d’Ézanville. Quatre coupelles en verre moulé-pressé épais dépoli avec des réserves claires. Ce modèle de verrerie était appelé « verrerie dalle éclatée » (voir image 13) par certains fabricants de bronzes d’éclairage comme Louis Vandamme, qui les utilisera largement pour le montage de ses luminaires et notamment visibles sur son catalogue de ventes pour l’année 1936. Elles sont été aussi appelées « verrerie dalle absinthe « , car elles ont été aussi produites dans un verre opalescent laiteux. Cette ligne de verrerie a été déclinée en différentes formes pour dans des coupelles et dans des tulipes, utilisant toujours le même motif tout autour.

Les Établissements Jean Gauthier (Rochefort-sur-Loire, 1879 – Nice, 1958) éditaient dans leurs usines d’Ézanville une importante production de verrerie d’éclairage. Dès 1931, date de la création d’une nouvelle société et l’achat des usines de Seine-et-Oise, avec le concours de son petit frère, Ernest Gauthier (Coulon, Allier, 1889) et Fernand-Henri Caillot, tous deux directeurs techniques de la production. Beaucoup des verreries sorties de l’usine située 5, 18 et 20 rue de l’Église à Ézanville (Seine-et-Oise) ne sont jamais signées, comme tel est le cas dans les appliques proposées ici à la vente. Les Établissement Jean Gauthier ont été dissous le 1er juin 1960.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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PAIRE D’APPLIQUES DOUBLES ART DÉCO LOUIS VANDAMME – EJG / EZANVILLE

Réf. 40309

Paire d’appliques doubles Art Déco VANDAMME – EJG / EZANVILLE. Elégantes et modernistes appliques de la maison VANDAMME (Louis Émile Augustin VAN DAMME, Bruxelles, 1886 – Paris, 1955), avec le monogramme L. Vandamme Paris et le numéro de pièce 2091 (voir image n° 9). Les montures sont d’un mélange d’acier, aluminium et laiton doré aux formes modernistes. Il s’agit d’une création de la fin des années 1930. Les verreries sont constituées de quatre coupelles en verre moulé-pressée avec bordure en gouttelettes et motifs rayonnants produits par les Etablissements Jean Gauthier (Rochefort-sur-Loire, 1879 – Nice, 1958) dans son usine d’Ezanville. Beaucoup des verreries sorties de l’usine située 5, 18 et 20 rue de l’Eglise à Ezanville (Seine et Oise) ne sont jamais signées. Les Etablissement Jean Gauthier ont été dissous le 1 juin 1960. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

PAIRE D’APPLIQUES DOUBLES EN LAITON CUIVRÉ ET VERRE GRANITÉ DES ANNÉES 1940-1950

410,00

Réf. 40248

Paire d’appliques doubles en laiton cuivré et verre granité vert pomme des années 1940-1950. Les monture simples en laiton cuivré sont composés des supports murales ronds à gradins sur lesquels s’adossent deux bras en col de cygne. Quatre tulipes en verre moulé granité d’un léger vert pomme, décorés des liserés géométriques dorés. Tous les points lumineux sont à baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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PAIRE DE LAMPES DE TABLE ART DÉCO TYPE CHANDELIER EN BRONZE, LAITON, VERRE TAILLÉ ET VERRE OPALIN

Réf. 20179

Paire de lampes de tables Art Déco type chandelier en bronze et laiton. Les lampes se dressent sur un socle en bronze à gradins suivis d’une boule en verre taillé, puis deux branches sur lesquelles pointent des fausses bougies en verre opalin blanc. Belle lumière d’ambiance tout en douceur. Les points lumineux (quatre au total) sont pour des fines et petites ampoules à vis E14 LED, fournies exceptionnellement avec les lampes.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). Les ampoules ne sont pas fournis lors de la vente. »

PAIRE DES LAMPES BOUT DE TABLE ART DÉCO BRONZE NICKELÉ ET CUIVRÉ, MARBRE ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

590,00

Réf. 20323

Paire de lampes dites « bout de table » Art Déco en bronze nickelé et cuivré, marbre et verre moulé-pressé. Cette paire de lampes de la seconde partie des années 1930, sont constituées d’une basse en marbre noir et blanc veiné avec piétinements circulaires en bronze cuivré. Une embase ronde à gradins en bronze nickelé, puis un bras double en balance en bronze cuivré et nickelé. Chaque lampe, à double feu, est équipée des globes en verre moulé-pressé blanc aux décors de craquelures. Électricité refaite à neuf avec câble torsadé tissu gris argenté, interrupteurs et prises. Les quatre points lumineux sont à douille à vis culot B22. Les dimensions renseignées sont pour chaque lampe. Le poids est la totalité de deux lampes.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

PAIRE DES LAMPES OISEAUX BORIS LACROIX BRONZE CUIVRÉ ET VERRE DÉPOLI BLANC

1 500,00

Réf. 20333

Paire de lampes bout de table oiseaux Boris Lacroix (1902-1984), en bronze cuivré et verre dépoli blanc. Cette paire de lampes dites « bout de table » en bronze cuivré aux têtes d’oiseaux (Faisans dorés ou Oiseaux de Paradis) font partie d’une série créée par Boris Lacroix dont on parviens à retrouver des lustres et des appliques avec l’utilisation des mêmes volatiles (voir image n° 12). On soupçonne que cette série soit éditée par les ateliers de Petitot pour la partie bronze et les Établissements Jean Gauthier pour ce qui est le verre moulé-pressé. La paire de lampes ici présentée, est accompagnée de fausses bougies ou fuseaux en verre dépoli blanc. Un interrupteur poussoir à l’arrière de chaque lampe. Électricité refaite à neuf avec câble torsadé tissu vieux or. Les quatre points lumineux sont à douille à vis culot E14.

Boris Jean Lacroix, selon son acte de naissance, était né à Paris, le 18 mars 1902, fils de l’artiste dramatique Jeanne Lacroix et d’un père « non dénommé ». La rumeur dit, sans aucune preuve, qu’il était le fils illégitime du grand-duc de Russie Boris Vladimirovitch (1877-1943). Récemment, lors de mes recherches, je suis tombé sur un petit article publié dans le journal « Le Petit bleu de Paris » du 22 mai 1930, p. 3 (voir image n° 13) où il est question du grand-duc de Russie Boris et d’un certain Jean-Boris Lacroix, son fils adoptif. Les dates sont concordantes et il fait penser que il existait bien cette relation là entre les deux personnes. L’altération de l’ordre des prénoms est peut être sans doute lié à une erreur du journaliste.

Boris Jean Lacroix, sans formation spécialisée, devient au fil des années un des décorateurs français les plus recherchés dans tous les domaines. Après avoir passé quatorze ans dans la maison de couture de Madeleine Vionnet, il se met à son compte et commence à décorer des intérieurs, à dessiner des luminaires, des papiers peints, des tissus et à illustrer des livres. En ce qui concerne les luminaires, il a était très souvent édité par les Établissements Damon (Alfred et Jean) du 13 rue Verniquet, Paris 17. En septembre 1940, Boris Lacroix se réfugie tout d’abord près de Castelnaudary où il essaiera sans beaucoup de résultat de trouver du travail comme décorateur. Il s’installe alors à Lyon, 35 rue Franklin est assure le contact entre les artistes de deux zones. Maurice Dufrène, nouveau président de la Société des Artistes Décorateurs, lui confie la représentation de la Société en zone libre. Boris Lacroix fût membre très actif de la S.A.D., de l’Association Française des Eclairagistes, de la Union des Artistes Modernes et de l’Union des Artistes Décorateurs d’Ensembles. Il décède à Paris le 3 mars 1984 dans son appartement parisien du 191 rue d’Alésia.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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PALAIS ET MADAULE : LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE DÉPOLI SATINÉ GRAVÉ

Réf. 10369

Palais et Madaule : lustre Art Déco bronze argenté et verre dépoli satiné gravé. Le lustre proposé ici à la vente est une production de la maison parisienne Palais et Madaule de la fin des années 1920. Quelques pièces qui lui composent comme les caches-douilles, les chaînes à gorges, les palmes qui décorent le cerclage central, entre autres, se retrouvent dans le seul et unique catalogue disponible de cette maison (voir images 22-27). Le lustre est composé d’une monture en bronze argenté, dont un cerclage central égayé de trois palmes. Trois branches-appliques finissant en volutes avec un décor à la manière des chaînes à billes et des caches douilles très typiques de la production de Palais et Madaule. Un cache-bélière avec des motifs rayonnants et trois volutes qui reprennent le décor des chaînes à billes. Le monogramme de la maison, à savoir « PM » est présent à l’intérieur de chaque maillon de la chaîne et derrière chaque palme du cerclage. La verrerie est composée d’une vasque centrale en verre moulé dépoli satiné et trois tulipes aussi en verre moulé dépoli satiné, mais avec des décors des gouttes d’eau gravées à la roue. Un éclairage indirect en douceur. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22, dont trois en appliques et un dans la vasque centrale. Il est possible de réduire la hauteur totale en retirant des maillons.

La maison Palais et Madaule a été fondée en 1920, sous la dénomination « Palais, Madaule et Célarié », société en nom collectif pour la fabrication de bronzes d’éclairage au 32 rue Popincourt dans le 11e arrondissement parisien. Elle était composée par deux jeunes monteurs en bronze : Émile Eugène PALAIS (Paris, 1887 – Amélie-les-Bains-Palalda, 1965), Louis Prudent CÉLARIÉ (Anianne, 1893 – Clermont-l’Hérault, 1984) et un dessinateur, Gaston Abel MADAULE (Paris, 1894 – Montpellier, 1945). Peu de temps après la société et les ateliers sont transférés au 63 rue de la Roquette, devenant l’adresse définitive. En 1923, la raison et la signature sociale deviennent Palais et Madaule, manufacture de bronzes d’éclairage et d’objets d’art. Nonobstant, Louis Célarié continu quand même à travailler au sein de la société. L’année suivante, un jugement de déclaration de faillite est prononcé, puis une homologation de concordat qui donne un sursaut à l’entreprise et qui lui permet les remboursements de créances et une continuité de l’activité. Quatre années, plus tard, en 1928, la société est transformée en commandite simple dont la raison et la signature sociale devient « Palais et Cie », gérée et administrée par Emile Palais, avec des pouvoirs plus étendus. Au cours de la même année, une nouvelle déclaration de faillite est prononcée. La société sera toujours active au début des années 1930, mais la date de tout arrêt d’activité est méconnue à ce jour. La production de la maison Palais et Madaule est d’une excellente qualité tant dans le plan de la conception comme de la fabrication de luminaires. Dans la période de la fin des années 1920, ils créent et fabriquent dans leur atelier des luminaires en bronze et fer forgé d’une belle réalisation. Les qualités de Gaston Madaule en tant que dessinateur sont bien exploitées par la maison comme on peut le constater par les réalisations de cette période ainsi que par le seul catalogue parvenu dans nos mains. Le monogramme utilisé par la maison était PM (Palais et Madaule). Comme chez la plupart des fabricants de bronzes d’éclairage, on retrouve souvent les mêmes éléments qui nous aident à identifier leurs productions, à savoir : caches-douilles, cache bélières, éléments de décors, etc. Dans la période de la fin des années 1920, Palais et Madaule vont utiliser pour le montage de ses luminaires, des tulipes et des vasques en verre ou cristal dépoli satiné, bien souvent gravés à la roue. Il ne faut pas confondre les productions de Palais et Madaule avec celles d’Élie Marius Auguste MADAULE, un autre fabricant de luminaires d’art en bronze et fer forgé aussi actif dans la même période dont la société était avait son siège au numéro 7 cités Bisson 75020 Paris.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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PETITOT/DEGUÉ : SUSPENSION-PLAFONNIER ART DÉCO CUIVRE, BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Réf. 30372

Petitot/Degué : suspension-plafonnier art Déco en cuivre et bronze argenté, verre moulé pressé. Le modèle proposé ici à la vente est un luminaire présent dans le catalogue de 1934, de la maison Petitot (Alexandre Hubert, Paris, 1877-1938), numéro de modèle 750 (voir images n° 14 et 15). Cet suspension-plafonnier de style très moderniste pour l’époque, est constituée d’une monture en cuivre et bronze argenté dissimulée sous deux grandes vasques de 45 et 35 cm en verre moulé-pressé dépoli blanc avec des réserves claires ou filets polis. La verrerie est une production de la Verrerie d’art Degué (Cristalleries de Compiègne). Beaucoup des verreries d’éclairage produites à Compiègne durant cette période ne sont jamais signées, mais on reconnaît la production du fabricant, largement utilisée par les fabricants d’appareils d’éclairage de l’époque. On retrouve dans un catalogue Degué des verreries semblables (voir images n° 16 et 17). Un grand cache-bélière à gradins et le monogramme AP (Alexandre Petitot et non Antonin Petitot comme par erreur est écrit souvent) dans le corps de la monture. Petitot utilisait pour ses luminaires les verreries de Muller Frères Lunéville, Degué, Gauthier et bien d’autres fabricants. Deux points lumineux à douille baïonnette culot B22. À signaler une légère fente dans le cache-bélière sans grande importance et peu visible.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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SUSPENSION ART DÉCO LAITON VIEIL ARGENT ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ DÉPOLI BLANC

Réf. 30354

Suspension Art Déco en laiton vieil argent et verre moulé-pressé. Cette élégante suspension est composée d’une monture constitué d’un cache-bélière en laiton vieil argent estampé aux motifs floraux et rayonnant; trois chaînes à emboutissage moderne et trois boutons d’attaches en cercles concentriques. Une vasque centrale en verre moulé-pressé dépoli blanc aux motifs géométriques et réserves claires. Un seul point lumineux à douille baïonnette culot B22. Idéal pour éclairer une petite pièce, un couloir ou une entrée.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »Suspens