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APPLIQUE-VEILLEUSE ART DÉCO MARCEL HUDRY EN BRONZE ARGENTÉ ET ALBÂTRE BLANC

430,00

Réf. 40352

Applique-veilleuse Art Déco de Marcel Hudry en bronze argenté et albâtre blanc. Cette applique en bronze argenté est frappées du monogramme M.H. correspondant au fabricant de luminaires parisien Marcel Hudry suivi du numéro « 142 » qui est celui du modèle (voir image 10). Marcel Alexandre Hudry (Paris 1889 – 1952), électricien de formation, créa vers 1925 son commerce et sa fabrique de bronzes d’éclairage et d’électricité au 13 rue de Crussol dans le 11ème arrondissement parisien (voir images 11 à 14). Il fera faillite en 1935.

L’applique ici proposée à la vente est présente en partie dans un catalogue du fabricant du début des années 1930. La platine est identique, seul il y a eu un changement au niveau supérieur. (voir image 11). Vue la numérotation du modèle, celui-ci proposé à la vente est d’une date antérieure de fabrication à celui développé dans le catalogue. Une demi-coupelle en albâtre blanc couronne l’applique. Une barre de fixation est présente à l’arrière de l’applique. Le point lumineux est à douille à vis culot E14 à utiliser en petite ampoule.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

CH. RANC ET MULLER FRÈRES : LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

1 180,00

Réf. 10343

Charles Ranc et Muller Frères Lunéville : lustre Art Déco bronze argenté et verre moulé-pressé. Un somptueux lustre dont la monture en bronze argenté à été crée par la maison de bronzes d’éclairage Charles Ranc à la fin des années 1920 ou début des années 1930. La Maison Ch. Ranc est devenue en 1928 la société en commandite simple « Ranc Frères », suite à la mort de son fondateur en 1927. Trois tiges-branches qui finissent en appliques de volutes avec ces griffes en bronze avec différents niveaux de gradins. Le cache-bélière, en bronze argenté, est une pièce largement utilisé par Ranc dans ses créations notamment dans le catalogue du fabricant de 1928 (voir images n° 14, 15 et 16). La verrerie est une production de la maison Muller Frères à Lunéville dont on retrouve leurs références dans un des catalogue du fabricant (voir image n° 17). Elle est composé d’une vasque centrale à bords lobés et aux décors floraux et géométriques. Elle est signée (voir image n° 10) est se trouve dans le catalogue Muller sous la référence 5909 (voir image n° 17). Quatre tulipes signées (voir image n° 12) qui reprennent les mêmes bords lobés aux décors floraux et géométriques dont la référence sur le catalogue est 5909-1 (voir image n°17). Les cinq points lumineux sont à douille baïonnette culot B22 dont quatre en appliques et un dans la vasque centrale.

La maison parisienne Charles Ranc fût fondée en 1909 par l’ardéchois Charles Eugène Frédéric RANC (Rocles, 1871 – Paris, 1927) au 64 rue de la Folie Méricourt. La maison Ranc est distinguée par la qualité de ses bronzes et le fin travail de ciselage. Une belle production d’appareils d’éclairage qui va se perpétuer avec ces fils, après le décès de son fondateur. La maison Charles Ranc devient alors Ranc Frères. Elle regroupait les enfants de Charles dont Eugène-André (Lyon, 1898), Charles-Clément (Lyon 1899), Auguste-Etienne et Madeleine-Henriette, devenue Mme Paul-Jules Berjot. La adresse de la maison fût transférée en 1930 au 97 rue Oberkampf. La société est restée active au moins jusqu’aux années 1990.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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DEGUÉ, LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ ROSE POUDRÉ

Réf. 10347

Degué, lustre Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé rose poudré. Une monture en bronze argenté dont le fabricant n’a pas pu être identifié, composée d’un cerclage central et trois branches en appliques aux formes géométriques. Trois tiges tubulaires cannelées et un cache bélière avec deux types de feuilles stylisées. La verrerie est composée d’une vasque centrale en verre moulé-pressé rose poudré de la maison Degué aux décors des crosses en épanouissement, modèle 513 dans le catalogue du fabricant (voir image n° 14 et 15). Trois tulipes de la même série avec les décors de crosses, modèle 510 du même catalogue (voir image n° 16 et 17). Cette verrerie, jamais signée, correspond à une sérié réalisée par la Verrerie d’Art Degué dans les usines des Cristalleries de Compiègne, elle à était produite en quatre tonalités : blanche, rose poudré, champagne et bleu. Les désignations dans le catalogue de l’époque sont celles de « Coupe décor moderne » (voir image n° 15) et « Tulipe décor moderne » (voir image n° 17). On trouve ce même modèle de verrerie avec la signature dans la masse du moule « L’ ELF » pour les Établissements Lucien Fontaine avec lequel les Cristalleries de Compiègne fournissait des verreries en verre moulé-pressé comme à bien d’autres fabricants de luminaires. En aucun cas on peut dire que cette verrerie est d’une fabrication des Établissements Lucien Fontaine (L’ ELF) car celui-ci n’était absolument pas un verrier mais un fabricant d’appareils d’éclairage en bronze et fer forgé qui se fournissait chez les verriers de l’époque. Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

EMILE DOMAINE/MODEL-VERDUN, LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ, VERRE MOULÉ-PRESSÉ

1 350,00

Réf. 10366

Émile Domaine/Model-Verdun, lustre Art Déco en bronze argenté et verre moulé-pressé. Une monture en bronze argenté richement décorée sur le thème végétal, et frappée sur plusieurs pièces avec le monogramme « E. D. », à savoir Émile Domaine. Cette monture est constituée de quatre tiges-branches à sections rectangulaires terminant en appliques, décorées d’un motif de crosses de fougère et quatre poignards descendent. Quatre médaillons aux bordures perlés, relient les branches à un cerclage central. Un chapeau et une pigne sur la coupelle centrale font office de fin de lustre. Le cache-bélière très richement décoré, reprend quatre palmettes aux bords perlés très utilisés dans les montages de ses luminaires.

Le fabricant parisien est né en 1879 à Saint-Nicolas, dans la vallée d’Aoste, en Italie. Domaine, associé à Sagnol avait leur fabrique de bronzes d’éclairage au 126 rue Saint-Maur dans le 11e arrondissement de Paris. Pendant leur période d’association, « Domaine et Sagnol » utilisaient le monogramme « DS » pour signer leurs réalisations. Puis Domaine reste seul dans la société qui devient « Établissements Domaine » (monogramme de signature « E. D. ») qui sera reprise en 1930 sous la dénomination « Anciens Établissements Domaine » jusqu’à sa faillite en en août 1937. Les cinq points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

La verrerie est composée de cinq coupelles en verre moulé-pressé aux décors de quatre grandes fleurs de pavot. Cette verrerie, rarement signée quand il s’agit des coupelles ou des tulipes, est une production de Maurice Model et la Cristallerie de Verdun. La production de Maurice Model, est très caractérisée par l’utilisation des motifs floraux et une finition du verre dépoli à l’acide qui lui donne un grain très fin avec des reflets satinés.

La Cristallerie de Verdun se trouvait au 10 rue Dame-Zabée à Verdun, elle fut créée par Maurice Jules MODEL (Paris, 1900 – 1973) en 1928. Model débute son activité en 1923 avec la société Model et Lange au 64 boulevard de Ménilmontant, un atelier des fleurs et des coquillages lumineux. À partir de 1925, sa société devient Établissements Maurice Model et les nouvelles installations seront fixées au 18 rue des Fêtes, jusqu’à la cessation d’activité durant la seconde guerre. Dans l’usine de Verdun, Model fabriquait de la verrerie d’art, notamment de la verrerie d’éclairage. Il oriente aussi ces créations dans la présentation d’étalages et des vitrines en verre dont il est à l’origine de leurs transformations. Il va aussi créer du flaconnage de luxe pour des parfums des grands couturiers français. Dans la foulée, Maurice Model va créer une entreprise de luminaires dont les installations sont mises à disposition de l’aviation militaire en 1939. La plupart des créations de Model étaient destinées à l’exportation, mais pas que. Les Cristalleries de Verdun seront fortement endommagées durant le bombardement du 15 juin 1940, par la suite, elles resteront fermées définitivement. Les verreries d’éclairage, souvent signées « M. Model Verdun », « Verdun », « Verdun France » sont très remarquables dans la production de verrerie d’éclairage d’entre les deux guerres, car elles ont un dépoli à grain très fin qui donne un aspect satiné au verre. On retrouve souvent les mêmes pièces signées ou non signées, et même parfois un même modèle avec la signature d’un autre fabricant d’éclairages.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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GRAND LUSTRE ART DÉCO BRONZE ET VERRE « NACROCRISTAL » « LA LUSTRERIE BRUXELLOISE »

Réf. 10338

Grand lustre Art Déco en bronze et verre « Nacrocristal » de la Lustrerie Bruxelloise. Peu commun sur le marché d’aujourd’hui, ce lustre est d’une production de La Lustrerie Bruxelloise et la Cristallerie du Val Saint Lambert, présent dans un catalogue du fabricant de la fin des années 1920 ou début les années 1930 (voir images 18, 19 et 20). Une belle monture en bronze doré composée d’une partie centrale en panier aux motifs floraux avec un cerclage central et six montant tout autour richement travaillés. Chaîne et cache-bélière en bronze doré sur le même thème végétal. La verrerie est composée de six panneaux en coquille et une petite vasque centrale, le tout avec des décors floraux. La verrerie utilisée par « La Lustrerie Bruxelloise » était souvent fabriquée par la Cristallerie du Val Saint Lambert. Le verre dit « Nacrocristal » était fabriqué par la Cristallerie d’une façon presque exclusive pour « La Lustrerie Bruxelloise » qui a son tour le proposait aussi à des revendeurs et fabricants d’appareils d’éclairage en Belgique mais aussi en France. La Lustrerie Bruxelloise était une société anonyme dont le siège se trouvait au 35 rue Plantin à Bruxelles (voir image n° 21). Les sept points lumineux sont à douilles à vis culot E27 (voir image n° 15).

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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GRAND LUSTRE ART DÉCO H. MOUYNET – SCHNEIDER BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

Grand lustre Art Déco d’Henri Mouynet – Schneider en bronze argenté et verre moulé-pressé. Le lustre proposé ici à la vente est d’une production de la fin des années 1920 ou le début des années 1930 de la maison Vve. Mouynet & fils dont Henri Mouynet était à la tête de la société après le décès de sont père. Il se compose d’une monture en bronze argenté sur le thème floral avec un cerclage en laiton repoussé et quatre branches en appliques aux décors floraux stylisés. Quatre tiges regroupées par un pourtour carré en bronze aux décors de feuilles. Le cache-bélière en bronze est richement décoré d’une orée florale autour d’une pointe à godrons. Plusieurs éléments de la monture dont les branches en appliques et le cache-bélière, sont frappés du monogramme M M correspondant à Marius Mouynet, fondateur de la maison (voir image 15). La verrerie est composée d’une vasque centrale et quatre tulipes en verre moulé-pressé aux motifs géométriques et floraux. La vasque et les quatre tulipes sont signés H. Mouynet (voir image 14) et fabriqués par la maison Schneider d’Épinay-sur-Seine. En effet, on trouve souvent ce modèle de verrerie avec la signature Mouynet mais il n’était pas pour autant un modèle exclusif. Mouynet comme la plupart de fabricants d’appareils d’éclairage faisaient appel aux différents fabricants de verrerie pour garnir ces productions en bronze ou en fer forgé. Il est utile de préciser qu’une verrerie signé par un fabricant d’appareils d’éclairage ne signifie pas que il soit le fabricant de cette verrerie puisqu’il n’était pas un verrier mais un bronzier ou ferronnier. Une verrerie signée ne désigne pas forcement le fabricant de l’appareil d’éclairage, arrêtons de faire l’amalgame. Cinq points lumineux à douilles baïonnette culot B22 dont quatre en appliques et un dans la vasque centrale.

La maison Mouynet a été fondée en 1892 par Pierre Antony Marius Mouynet (Sète, 15 août 1853- Paris, 12 juin 1923), qui était tout d’abord un négociant voyageur (voir image 16 et 17). La première adresse professionnelle parisienne de Marius Mouynet était aux numéros 74-76 rue Amelot comme fabricant des bronzes d’éclairage. A la mort de son fondateur, son fils Henry Mouynet (Paris, 9 novembre 1885 – Cannes, 19 février 1969) reprend l’affaire familiale. Henry, avait obtenu en juillet 1907, le Diplôme d’Ingénieur de l’Ecole des Arts et Manufactures de Paris. La société reprise par Henri s’appellera par la suite Mouynet et Fils et continuera l’affaire commencé par le père à la même adresse jusqu’en 1926 en rajoutant à son activité la fabrication d’appareils d’éclairage : gaz, électricité et pétrole. Aux débuts des années 1920, Henri Mouynet et son épouse divorcée Jeanne Roche achètent un terrain à M. Orlin situé au 11 rue Etienne Marcel prolongée (aujourd’hui 5, rue Roger Verlomme 75003) et construisent en deux étapes la future nouvelle adresse du siège de la société. La activité continuera tout au long de la décennie jusqu’en janvier 1932 ou la veuve Mme Marius Mouynet et son fils Henri créeront entre eux une Société a responsabilité limitée d’un capital social de 640 000 francs pour la vente de tous appareils d’éclairage à gaz, d’électricité et de pétrole. Le siège social est fixé au numéro 11 rue Etienne Marcel prolongée et la durée de la Société est fixée à 20 ans à partir rétroactivement du 1 octobre 1931. Son seul et unique gérant sera Henry Mouynet à qui sa veuve mère lui donne les plans pouvoirs ; la société s’appellera alors Veuve Mouynet et Fils. Les premières difficultés financières commencent en 1933 et le siège de la société est transféré au 21 rue Mercœur. Henry Mouynet, à causes des emprunts hypothécaires qu’il ne peut pas rembourser dans les conditions prévues au Crédit Foncier de France. Il en résulte une « vente sur saisie immobilière » à la ‘Chambre des Criées’. Dans une « folle enchère », en 1937, l’immeuble revient par adjudication à M. Chaïm, dit Henri Markhbein (Rowno,1891), juif né en Russie et naturalisé français qui était un important marchant d’articles d’éclairage et de verrerie. Plus tard le siège de la Société Veuve Mouynet et Fils sera transféré au 38 rue d’Alsace à Courbevoie où elle sera déclarée en faillite en avril 1938 puis liquidée.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

GRAND PLAFONNIER ART DÉCO TÔLE D’ACIER REPOUSSÉ ET VERRE MOULÉ

540,00

Réf. 30344

Grand plafonnier Art Déco en tôle d’acier repoussé et verre moulé. Une monture en tôle d’acier repoussé et martelé aux motifs de sillons et des pointes sur différents types de gradins. Une grande vasque-globe ovoïde en verre moulé dépoli blanc aux décors de martelage avec une frise aux fleurs stylisées. Une production française de la fin des années 1920. Deux points lumineux à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

GRANDE APPLIQUE ART DÉCO PERRUCHE EN BRONZE ARGENTÉ ET VERRE MOULÉ-PRESSÉ

550,00

Réf. 40351

Grande applique Art Déco Perruche en bronze argenté et verre moulé-pressé. Cette belle et élégante applique est conçue et fabriquée en bronze argenté ciselé. Elle est constituée d’une platine aux décors de feuillages stylisés avec double fixation en haut et en bas de la platine. Un bras d’applique en sarment de vigne avec sa petite grappe de raisin. Une belle belle perruche calopsitte, à longs brins, se dresse sur le sarment tenant dans son bec la lumière en guise de prise : une tulipe en verre moulé-pressé dépoli blanc aux motifs des poissons dans les flots des eux. Ni la monture en bronze ni la tulipe ont pu être identifiées. La monture présente seulement la numérotation « 24 » correspondant au modèle du fabricant. La tulipe peut être une fabrication de Sonover, Noverdy ou la Verrerie des Vosges, mais rien n’est sûr en absence de documentation. Le point lumineux est à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

GRANGER : GRANDE APPLIQUE ART DÉCO BRONZE NICKELÉ ET ALBÂTRE BLANC

580,00

Réf. 40356
Granger, grande applique Art Déco en bronze nickelé et albâtre blanc. Cette imposante applique est une production de Granger de la fin des années 1920. Elle est constituée d’une platine de forme ovale aux motifs floraux et géométriques avec un grand bras d’applique ascendant à facettes. Une grande coupelle-tulipe en albâtre blanc veiné aux tons noir et gris de la maison parisienne Tissot, installé au 70 rue d’Angoulême. Une barre d’accroche est présente à l’arrière de la platine avec le monogramme de Granger « Y G » (voir image n° 8). Le Y correspond à son fils Yves Granger qui reprendra d’une certaine manière l’affaire familiale. Le point lumineux est à douille baïonnette culot B22.

La maison Granger fut créée en 1892 par Ernest Simon Marie GRANGER (Paris, 1864-1936). Elle était située à ses débuts au 42 rue Beaubourg, suite d’une reprise d’une ancienne société de son père Alexis Granger, qui était spécialisé dans la fabrication d’objets en acier. La nouvelle entreprise d’Ernest Granger, « Granger fils » va commencer son activité dans la fabrication d’outils pour ouvrages de dames : crochets à broder, ongliers ainsi que d’outillages divers pour la quincaillerie, dont des tringles, des crochets, des rosaces à tableaux, des porte-chapeaux et manteaux, plaques de propreté. Il va déménager ses ateliers plusieurs fois : d’abord au 16 rue Rambuteau en 1907, puis au 26 de la même rue Rambuteau jusqu’en 1913. Finalement, en 1914, il s’installe définitivement au 10 rue Moreau où il restera jusqu’à cessation d’activité. À partir de cette date, il va élargir sa gamme de production en proposant des cuivreries d’ameublement, garnitures de fenêtres, bronzes d’éclairage et d’ameublement. La production de bronzes d’éclairage va prendre petit à petit sa place dans son développement et il fera appel à des créateurs et artistes tels Houssat-Bordenave pour les dessins de ses luminaires. Granger va utiliser souvent de l’albâtre de chez Tissot pour garnir ses luminaires, mais il va aussi utiliser du verre moulé dépoli et du verre pressé. La maison Granger va finalement disparaître en 1936 suite au décès de son fondateur.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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HETTIER ET VINCENT / MULLER FRÈRES LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET PÂTE DE VERRE

Réf. 10348

Lustre Art Déco HETTIER ET VINCENT en bronze argenté et pâte de verre Muller Frères Lunéville. Une élégante et aérienne réalisation du duo Hettier et Vincent présente dans le catalogue du fabricant de 1929 (voir images de 17 à 20). L’association entre le dessinateur Charles Louis Hettier (Paris, 1868) et Calixte Vincent (Lachapelle-Graillouse, 1876 – Paris, 1945) date au moins des années avant la Guerre de 14-18, vers 1912. Installés depuis leur début au 43 rue des Tournelles ils ont petit à petit grandi leurs affaires et ils vont racheter en 1929 la maison Millet de la Place de Vosges. Après la seconde Guerre Mondial la veuve Vincent fait tourner la société jusqu’à la revente.

Le modèle ici présenté à la vente (n° 8079 dans le catalogue du fabricant de 1929), est composé d’une monture en bronze argenté à trois branches-appliques. Les trois bras en appliques présentent les caches-douilles à godrons très caractéristiques de la maison. Une partie centrale en forme de torchère rayonnante et sa pigne de fin de lustre. Le cache-bélière avec le même traitement rayonnant et bordure supérieure perlée est un élément largement utilisé par Hettier et Vincent dans ses productions d’entre les deux guerre. Il est d’ailleurs proposé à la vente dans le même catalogue de 1929 (voir image n° 18). Les quatre points lumineux sont équipés des tulipes avec bords festonnés en pâte de verre la verrerie Muller Frères à Lunéville. Les tulipes avec le style marmoréen c’est un dégradé de tonalités poudrées de blanc, rose et bleu. Elles sont toutes la signature dégagée à l’acide « Muller Frères Lunéville ». Les quatre points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LOUIS GAGNON : APPLIQUE DOUBLE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE SATINÉ

470,00

Réf. 40359

Louis Gagnon : applique double Art Déco en bronze argenté et verre satiné. Cette élégante applique double en bronze argenté de la fin des années 1920, est constitué d’une platine en forme de vase au bouquet de roses modernes. Deux bras remontants à section carrée avec leurs coupelles cache-douilles à godrons bas. Une barre d’accrochage est présente à l’arrière de la platine ainsi que la signature « GAGNON » (voir image n° 10). La verrerie est composée de deux fines tulipes en verre moulé dépoli satiné blanc. Gagnon garnissait souvent ses luminaires de ces années-là avec de la verrerie à simple dépoli (voir image n° 13). Les deux points lumineux sont à douille baïonnette culot B22.

Louis Alfred Gagnon (Paris, 1870), fils d’un serrurier, avait fait toute sa carrière en tant que ciseleur, un des plus réputés parmi ces compères. Il s’installe tout d’abord vers 1890 dans un des ateliers de ciseleurs au 10 rue Villehardouin et il obtient en 1903 le premier prix de ciselure du prestigieux concours de la Fondation Willemsens (voir image n° 12). En 1909, il installe ses ateliers au 10 – 13 Passage du Chantier où il va développer son activité dans la fabrication et la conception de bronzes d’art et d’éclairage. Il va collaborer dès la fin des années 1920 avec le dessinateur et décorateur Georges Dunaime qui signera des nombreux appareils d’éclairage édités par Alfred Gagnon et son fils Paul (voir image n° 11). En 1929, Alfred Gagnon fait une cession du fonds de commerce en faveur de son fils Paul qui signera ses bronzes « P. Gagnon » tout au long de la décennie 1930.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LUCIEN ALLIOT : PAIRE DE SUSPENSIONS BRONZE ET ALBÂTRE BLANC VEINÉ GRIS

990,00

Réf. 30370

Lucien Alliot : Paire de suspensions en bronze et albâtre blanc veiné gris. La paire de suspensions proposées ici à la vente sont une production de la maison Lucien Alliot dont le monogramme L ✱ A est présent dans chaque pièce d’attache entre les chaînes et les vasques (voir image n°13). Les montures, dans un style Louis XVI, sont constituées chacune de trois chaînes avec des maillons et anneaux intercalés en bronze. Des cache-bélières en bronze aux décors de feuilles d’acanthe. Les boutons de pièces d’attache sont aussi décorés de feuilles d’acanthe. Les vasques, d’un diamètre de 30 cm sont en albâtre blanc, veiné gris. À l’intérieur de chaque vasque, trois points lumineux à douille baïonnette culot B22.

Lucien Charles Edouard ALLIOT (Paris, 1877 – Nanteuil-lès-Meaux, 1967), est surtout bien connu sous sa casquette de sculpteur statuaire et de fondeur. Mais il était aussi à la tête d’une importante société de fabrication de bronzes d’art et d’éclairage. La maison Alliot, tient se origines en 1860 quand M. Soulage crée une fabrique d’articles de religion en bronze d’imitation au 70 rue d’Angoulême. À la mort de Soulage en 1882, sa fabrique avait acquis une importante assez considérable. C’est à ce moment-là que la maison change sa raison sociale en « Veuve Soulage, Soulage fils et Alliot », ce dernier était le gendre de M. Soulage.

L’entrée de Napoléon Alliot dans l’établissement Soulage permit d’apporter à la fabrication un souffle nouveau : N. Alliot était un remarquable sculpteur et ciseleur. Sans abandonner la fabrication des sujets religieux, Alliot entreprit de fabriquer des œuvres créés par lui-même comme des statuettes, des groupes et des fantaisies diverses qui obtinrent un beau succès auprès du public. La maison Soulage devient définitivement la maison Alliot en 1882, à la suite du décès de Soulage fils. Les locaux de la rue d’Angoulême devenus trop étroits, c’est alors que N. Alliot déménage au 20 rue Pierre Levée. La nouvelle adresse aller comporter la fabrication complète de tout ce qui concerne le bronze d’imitation, à savoir, la fonte du métal, la ciselure, le montage et le bronzage des sujets. Plus de cinquante ouvriers et ouvrières travaillaient aux ateliers Alliot.

Le fils de Napoléon Alliot, Lucien, ancien élève de Barrias et de Coutant aux Beaux-Arts, avait commencé une carrière de modeleur et ses attitudes pour la sculpture vont dépasser celles de son père. Après le décès de son père, Lucien Alliot entrepris seul la direction de l’entreprise, puis il s’associe au nouvel époux de sa mère, Ernest Briche sous la dénomination Alliot & Briche. En 1913, Briche et Mme Briche, veuve Alliot, vont céder l’intégralité de la société à Lucien Alliot. À partir de ce moment-là, Lucien supprime de son activité le travail du bronze d’imitation pour se consacrer entièrement à la fabrication du bronze véritable. La nouvelle entreprise va se développer encore plus, et Lucien rajoute à l’activité une ligne de fabrication de bronzes d’éclairage, dont très souvent, il dessinait lui-même les modèles. La fabrication de luminaires va évoluer au fils des années avec une production de luminaires dit « classiques » et une autre de luminaires « modernes ». La production de luminaires de la maison Alliot va être active jusqu’au début de la Seconde Guerre mondiale. En 1942, sous l’occupation allemande, la loi relative aux entreprises, biens et valeurs appartenant aux juifs, va imposer une administration provisoire de la maison Alliot, selon les autorités allemandes le nom d’origine de la famille Alliot serait plutôt Halliot, donc juif.

Les luminaires produits par la maison Alliot vont être très présents sur le marché français et aussi à l’exportation. On retrouve beaucoup des pièces de la période Art Déco, mais aussi beaucoup d’autres de styles plus classiques : Louis XIV, Louis XV et Louis XVI. L’utilisation du monogramme de deux initiales avec une petite étoile entre les deux, est en général très présent dans tous ses luminaires.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

LUSTRE ART DÉCO ADOLPHE BLOCH EN BRONZE ET PÂTE DE VERRE TANGO

780,00

Réf. 10302

Lustre Art Déco Adolphe Bloch en bronze et pâte de verre tango. Une monture en bronze doré composée d’une partie centrale en bronze, un cerclage égayé des décors de fruits et de végétaux agrémenté de trois bandeaux verticaux qui rejoignent à l’extrémité un poignard en guise de fin de lustre. Trois bras-appliques en prolongation deviennent trois tiges qui remontent jusqu’au cache-bélière celui-ci à décors de feuilles stylisées. Une petite vasque centrale et trois grandes tulipes en pâte de verre dit « tango » aux tonalités rouges et orangés en dégradé font penser aux verrerie Scheneider, mais celles-ci ne sont pas signées. Le monogramme « AB » présent sur plusieurs parties de la monture en bronze désigne le bronzier d’éclairage Adolphe Bloch (Paris, 1875-1946), fils de colporteur. Bloch, était un monteur en bronze qui commença sa carrière à la Maison Peyret au 44 rue de la Folie Méricourt. Il créa sa maison parisienne en 1905 situé au 19 rue Pasteur (Ateliers et magasin) en plus d’un magasin d’exposition au 37 Boulevard Voltaire. Puis elle reprend en 1926 l’ancienne Maison G. Peyret (Fabrique d’appareils d’éclairage) où il avait fait ces débuts et déménage ses bureaux, ses magasins et ses ateliers au 7 et 9 Cité Popincourt (14 rue de la Folie Méricourt) jusqu’à sa mort en 1946. Le lustre proposé ici est présent dans un catalogue du fabricant datant d’avant 1926 vu l’adresse sur le catalogue (voir images 9 et 10). Quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de la vasque.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »

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LUSTRE ART DÉCO BRONZE ARGENTÉ ET VERRE DÉPOLI GRAVÉ.

Réf. 10322
Lustre Art Déco en bronze argenté et verre dépoli et gravé. Une belle et moderne monture en bronze fondu argenté avec ossature légère. Elle est composée d’un cerclage central entouré de trois branches en appliques finement travaillées avec des motifs floraux stylisés. Trois tiges à quatre pans ornementées de motifs de clé grecque (voir photo 14). Un somptueux cache-bélière avec des motifs floraux stylisés. La monture est monogrammée « R », fabricant non identifié pour l’instant. La verrerie est composée d’un obus-vasque central et trois tulipes le tout en verre moulé dépoli blanc et gravé à la roue avec des motifs géométriques. Les quatre points lumineux à douille baïonnette culot B22 dont trois en appliques et un à l’intérieur de l’obus.

« Tous les luminaires vendus sur notre site ont été restaurés par nos soins dans la plus stricte tradition de préservation et sans aucune altération remarquable de l’objet d’origine. Plusieurs heures de travail ont été nécessaires pour accomplir leurs rénovations. Tous les éléments sont d’origine, seule l’électricité a été refaite à neuf selon les normes actuelles mais en gardant toujours les douilles originales, souvent à ampoule culot B (baïonnette). »